Le M. adopte la même ligne de défense que JOVENEL et l'ensemble des dilapidateurs et voleurs des Fonds PetroCaribe et du 1.50$ captés sur la diaspora.
A savoir, se présenter comme une victime de ceux qui refusent que le système change.
Du genre je suis génial ( comme JOVENEL) je suis intègre ( comme JOVENEL), je suis omniscient ( comme JOVENEL), je ne suis le restavèk de personne ( comme JOVENEL)
Alors qu'il est en réalité parmi ceux qui défendent le "petit reste pour le peuple " et la corruption dont nous avons l'exemple à Paris et en Guyane et qui est présente dans l'ensemble des délégations d'Haïti à l'étranger.
Le pillage, celui de l'équipe MARTELLY/BELLERIVE/ LAMOTHE/LALEAU auquel a succédé celui de JOVENEL/LUBERICE est maquillé de manière perverse en un échec provoqué par les opposants aux tèt kale.
De même que tous les tèt kale, leurs propagandistes sont atteints des mêmes maux : mensonges, simulations, duperies, narcissisme, mégalomanie et ils sont paranoïaques - ce qui est normal quand ils savent qu'ils sont des usurpateurs pouvant être à n'importe quel moment démasqués - d'où la tendance à supprimer physiquement tous ceux qui pourraient le faire.
Pour certains il s'agit de pathologies, pour d'autres comme celui qui se dénomme "pitit bondye" - on voit déjà dans ce surnom une intention de manipuler en se prétendant élu par dieu à la TRUMP- leur prise de position pro-tèt kale, correspond à celle de tous ceux qui entrent dans un gang, dans une mafia. Une seule alternative : défendre le gang. Ou bien c'est la mort.
Vous vous rappelez du cousin de Martelly, le patron de l'hôtel Olloffson et du groupe musical Ram - dont on n'entend plus parler d'ailleurs- Il avait déclaré qu'il avait vu tant de corruption au Palais national qu'il avait fui le lieu et rompu ses liens avec MARTELLY.
Et véritablement il a eu raison de prendre ses jambes à son cou avant d'être attrapé dans un engrenage duquel il pourrait ne pas se sortir -ou se sortir suicidé comme le patron du FAES.
J'ai l'impression qu'en dehors des Kris la, ti la pluie et autres chefs de gangs, les Haïtiens ne comprennent pas ce que cela représente d'être pris dans un zatrap.
MORVAN J. COLEM s'indigne de la collaboration de certains avec le régime tèt kale, mais ce qu'il semble oublier - bien qu'il le sache parfaitement puisqu'il la dénonce tous les jours- c'est la dimension d'un régime criminel qui emprisonne ses partisans dans une fidélité au mal. Et que, dans bien des cas, les Guy WEWE, les "pitit bondye" n'ont pas d'autre choix que la collaboration.
La campagne en faveur du referendum que font des pitit bondye, Guy Wewe et autres frappadingues sur le net, n'est pas différente en essence que la réaction des habitants des quartiers défavorisés applaudissant à l'arrivée de nouvelles personnes kidnappées par les gangsters.
Il faut comprendre que, et les propagandistes et les résidents de ces quartiers de non-droit, n'ont pas la liberté de faire autrement. C'est marche ou crève.
Ce qui fait la force de tous les mouvements d'extrême-droite dans le monde : une fois entré dans l'antre de la bête, difficile d'en sortir, si ce n'est les pieds devant.
S'il existait dans ce pays des chercheurs intéressés à analyser le fonctionnement du duvaliérisme et les mécanismes qui lui ont permis de durer 29 ans à travers le sort fait aux adeptes de ce régime comme le père de Dany Laferrière, un Lafontant, ou même un Leslie Manigat une fois qu'ils ont été considérés par DUVALIER F. comme des opposants, la société haïtienne aurait évité de tomber dans le piège de se retrouver avec des MARTELLY /JOVENEL à la tête du pays.
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"Guy wewe jounalis pèpè " John Colem Morvan mete anpil machan micro nan vrè plas yo
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