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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


LU sur le Net : "Joseph Jacques ​​Frapp te' tire' sou Bato ameriken .nou we` mouvi sa a deja." À propos des projectiles qui...

Publié par siel sur 31 Octobre 2024, 01:30am

Catégories : #REFLEXIONS perso, #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ECONOMIE, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

... auraient visé l'une des voitures de l'ambassade US.

Effectivement, les plus jeunes ne connaissent pas cette mascarade qui s'est déroulée pendant le Coup d'État de 1991 soutenu par les USA.

Écoutez ce que dit M. Vidal, le collègue d'Assad qualifiant de "valeur ajoutée"  donnée aux gangs, la déclaration de l'ambassadeur sur ses "relations particulières" avec les chefs de gangs, dont Barbecue et le Vitèlom.

De même le simulacre du bateau US attaqué par les FRAPH était fabriqué pour apporter une " valeur ajoutée"  au groupe de paramilitaires d'extrême-droite, une stratégie dont l'objectif était de leurrer la population en lui faisant croire que ces gens-là possédaient assez de force pour se confronter à un bateau de guerre US. BS.

Même valeur ajoutée  qui avait été accordée à DUVALIER F. quand ils le laissent déclarer leur ambassadeur persona non grata. Bluff pour rehausser la figure de leur ex-employé de la Mission Américaine, en le faisant passer pour un supernationaliste  de manière à faire oublier aux "piti Dessalines" sa vente année après année, pendant 29ans des paysans Haïtiens  au gouvernement de la RD

L'ambassadeur n'a pas été le premier à  apporter  de la valeur ajoutée aux gangs. Ce truc là c'est fait ti pa, ti pa. D'abord les journalistes et  autres personnages wierds de la société civile " Arabla" et des influenceurs aussi bizarroïdes genre FOUCO, BERTHO, BUSTA, des politiciens et hommes d'affaires les ont présenté comme des victimes du système. Puis  ils ont été présentés comme des révolutionnaires et la propagande faisaient d'eux des sortes de "Robin des Bois.) faisant fi que les types attaquaient les pauvres et les éléments de la classe moyenne et qu'ils ne redistribuaient absolument pas leurs butins. ( En 2004 M. Guy PHILIPPE était également présenté par la presse occidentale comme un Robin des Bois).

Et enfin ce même acteur du désordre organisé en 2004 est à nouveau utilisé pour lancer une politique d'amnistie pour " ces pauvres victimes des zoligat," devenues malgré eux des criminels endurcis.​ ​​​​​​Ceci fait que l'interprétation que fait  Vidal de la déclaration  de Dennis B. HANKINS a du sens dans la mesure où elle sous entend que le M. enverrait un message en faveur du dialogue avec les bandits au gouvernement.

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