Evo Morales et Rafael Correa dénoncent le siège du Venezuela par les médias privés
Misión Verdad
Lors du dernier sommet du G 77 + la Chine qui s’est tenu en Bolivie le 14 juin 2014, 133 pays (soit les deux tiers de l’ONU) se sont mis d’accord sur un programme mondial de lutte contre la pauvreté. Lors de la Rencontre Plurinationale des Peuples organisée en prélude au sommet, plusieurs présidents latino-américains ont exprimé leur solidarité avec la révolution bolivarienne."Les États-Unis trouveront leur deuxième Vietnam au Venezuela s’ils poursuivent leur ingérence" a déclaré le président Evo Morales.
"Toute l’Amérique Latine est avec notre cher Venezuela" a lancé le président Correa. Le mandataire équatorien a rappelé que le Venezuela et les gouvernements de gauche latino-américains ne sont pas seulement assiégés par l’entreprise de restauration conservatrice d’élites régionales "qui nous ont toujours dominés, exclus, mais ont appris de leurs erreurs", mais aussi "par ces instruments de destruction massive de la vérité que sont les médias”.
"Comment peut-on parler de liberté authentique alors que nous dépendons de ce que disent les entreprises possédées par une demi-douzaine de familles ?” s’est exclamé Rafael Correa.
Réponse :
parce que le président et le Premier ministre Tèt Kale, boules à zéro roses
étaient occupés à faire la fête à New-York
avec leurs copines et copains.
Pendant que Clinton et Martelly sont hués par une petite foule devant le resto huppé où ce triste monde va célébrer sa propre richesse et la misère des Haïtiens, M. Céant entame sa candidature aux élections présidentielles avec un article dans le journal El Pais intutilé " La reconstruction d'Haïti commence avec les Haïtiens"
il faut rappeler que M. Céant est notaire et qu'il est impliqué en tant que notaire dans la vérification des titres de propriétés des habitants du bas de la ville dont les maisons son entrain d'être démolies avant même que leurs dossiers ne soient réglés. Ainsi, selon M. Céant, seulement 17 propriétaires ont été dédommagés suite à leur expropriation par l'Etat.
Non seulement la démolition se passe en dehors des normes, mais aussi la reconstruction dont les Haïtiens sont tenus à l'écart. Ils n'ont aucune idée de ce qui va se faire avec leur argent. Et les architectes, ingénieurs, urbanistes haïtiens n'ont pas été non plus sollicités.
C'est à ce fric frac totalement opaque que M. Céant, en tant que notaire, participe indirectement, alors que dans le même temps il déclare : la reconstruction d'Haïti doit se faire avec les Haïtiens.
Schizophrénie ?
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