S'il ne s'agissait pas du choix du Premier ministre, on en rirait à gorges déployées comme d'une grosse farce.
La, le spectacle bien que savoureux, nous fait rire jaune.
Parce que démontrant l'état des institutions haïtiennes.
Lesquelles permettent à un inculpé pour suspicion de blanchiment d'être placé président.
Et à une personne qui n'ont seulement paye ses arriérés d'impôts en une seule fois mais de plus n'a même jugé bon de payer la patente de sa clinique.
Voici les modèles proposés à la nation pour la diriger.
De plus ce Premier ministre n'a même pas jugé de présenter les CV de son équipe gouvernementale, comme si les Haïtiens ne méritaient même pas de savoir qui seront les responsables des ministères.
Une autre forme de corruption... Quel gâchis !
Jovenel Moïse, par respect pour les parlementaires qu'il met dans une situation difficile et pour les Haïtiens, ne pouvait-il pas choisir une personne au moins en règle avec ses impôts ?
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