Comme d'hab, les media tels que celui animé par L. Désir veulent absolument faire passer un homme sélectionné par Martelly, Antonio Solà, la CI et cie en une victime de ce même groupe.
Alors que Gassant avait dans son entretien clairement exprimé qu'il n'y avait aucun conflit réel entre le clan Martelly et Jovenel, L Désir, après cette émission s'empresse d'effacer l'effet des déclarations de Gassant, en vendant la perception d'un Jovenel propre sur lui, un "nèg bannan nan ", transformé magiquement en David luttant contre Goliath.
Rappelons que le David en question, est un inculpé pour suspicion de blanchiment d'argent, un homme dont la campagne a été financée par les Goliath.
Ce que veulent à tout prix cacher les media, avec leurs exercices d'équilibristes en invitant à leurs émissions des gens peu politisés, peu formés, hurlant leurs frustrations - le tout favorisant un populisme basé sur la confusion - c'est que, l' inculpé fait-président financé par les patrons d'Haïti, selon l'analyse de Gassant ,serait leur otage. M. Point barre est effectivement un point barre, une route barrée dès le départ par ses 14 comptes en banque.
Il lui reste - et c'est la stratégie orchestrée par les media, au dépens de la réalité - de se faire passer pour un paysan Noir victime des méchants riches - en passant ces mêmes riches qui l'on propulsé à la place qu'il occupe - qui mépriseraient son origine de classe, sa couleur et par là, la majorité des Haïtiens.
C'est la dernière fable concoctée par les Tèt Kale, pour faire avaler à la population que l'inculpé fait-président serait une victime du système. Alors même, que le même homme a déclaré : " Je suis un produit du secteur privé", que le même homme a déclaré à Paris : " Mwen gen moun tout kote", j'ai des gens à moi partout ... Pour bloquer l'enquête sur la gestion des Fonds Petro-Caribe.
J. Moïse étant une imposture, plus le temps passe, plus les Tèt Kale font usage de manigances, d'incohérences et de mensonges pour la camoufler. Le dernier truc étant de présenter le pauvre inculpé fait-président, le nèg banann nan, comme une victime de ses protecteurs.
Manigances plus que ridicules, obscènes et criminelles qui s'appuient sur la perception d'Antonio Solà que les Haïtiens sont des canards sauvages = plus on les embobine, plus on les " banane", plus on les prend pour des enfants, plus ils croient aux conneries fabriquées spécialement pour eux. Et les media haïtiens s'emploient à berner la population - ou sont employés pour la berner, pour la "pase nan tenten", pour la manipuler
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