Ils font la promotion de la violence verbale quotidiennement dans leurs micros depuis au moins huit ans. Ils adoRRRent quand Martelly égrenne ses saloperies. C'est un " artiste", c disent ces arieRRés - pour lesquels un artiste c'est un marchand de saloperies.
Elles et ils ricanent, gloussent de plaisir - comme on l'a vu dans les apparitions de Martelly à Radio Caraïbes.
Ils sont incapables de défendre un membre de leur profession insulté. Les paroles sales de Martelly sur les femmes les font carrément avoir un orgasme. Il a raison disent ses conaRRs, de lancer du haut de son char entouré d'hommes lourdement armés, ses obscénités contre la journaliste, parce qu'elle lui aurait manqué de respect pendant tout son mandat.
Vous avez entendu Liliane Pierre-Paul derrière son micro, traiter Martelly de "massissi", évoquer la profondeur du trou de son bounda , et autres saletés propres au répertoire de Martelly ?
Bref. Dès l'arrivée de Martelly, nous avons sur ce blog, averti que la violence verbale mène à la violence physique. A partir du moment où à la tête d'un pays vous avez un bandi legal qui utilise la violence verbale comme arme politique, la société emprunte le chemin qui conduit à légitimer la violence physique.
Nous avons fait remarquer que le mensonge qui est avec la violence verbale une autre des armes des tèt Kale mène également à la violence physique
Combien de fois, avons nous cité le texte d'Hannah Arendt ? Combien de fois avons-nous incité les Haïtiens à le lire ?
Nous avons également, montré comment la manière dont les marchands de micro hurlent dans leurs micros est une violence faite à leurs auditeurs qu'ils plongent dans un état de stress et de soumission. Pour l'illustrer nous avons donné l'exemple de la prestation de Charlie Chaplin dans le film " Le dictateur " caricaturant Hitler hurlant tant dans les micros que ces derniers se courbent sous le choc des décibels.
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