Ne vous attendez pas à ce que les bandi legal wozrakèt bougent le petit doigt.
Eux et les journalistes de l'équipe " oganizasyon dwa de com, rale ko nou", vous diront que c'est la faute aux Organisations de droits de l'Homme qui ont instrumentalisé l'ONU.
Quand l'ONU disait que le choléra était de souche haïtienne, les bandi legal disaient oui, oui c'est bien vrai.
Cependant dans ce cas là, on aura droit à toutes sortes de fables à la dessalinienne. Par exemple Lubérice pourrait avancer qu'il s'agit de racisme et de néocolonialisme comme il l'a fait ici dans sa réponse à l'économiste F. Thomas.
Ou bien si d'aventure il y aurait une arrestation les juges de l'équipe Brédy, Petit -Papa et autres, s'empresseront de déclarer l'accusé libre de ses mouvements comme dans le cas d'Onondieu.
Et puis, ils trouveront bien à mettre ça sur le dos de l'opposition, bouc-émissaire de leurs vols, violences et incompétence.
Le rapport conjoint du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme des Nations Unies et du Bureau intégré des Nations Unies en Haïti examine la flambée de violence des gangs dans le quartier de Bel Air du 4 au 6 novembre 2019, qui a entraîné la mort d’au moins trois personnes, causé six blessés et laissé 30 familles sans abri après l’incendie de leur maison.
Le rapport, publié aujourd’hui, révèle que l’un des chefs de gangs les plus notoires du pays, l’ancien officier de police Jimmy Cherizier, contre lequel un mandat d’arrêt a été pourtant émis en février 2019, a été le principal acteur des attaques.
Suite dans le lien.
Haïti - Violences & Gangs : un rapport de l'ONU révèle que les autorités ont failli à leur tâche
Haïti : L'ONU publie un rapport sur la violence des gangs à Port au Prince. Port-Au-Prince, mardi 18 février 2020 ((rezonodwes.com))-- Un rapport des Nations Unies a révélé que les autorités...
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