« Netanyahou ne quitte pas le poste de premier ministre à cause de ses échecs, mais à cause de sa personnalité. Au cours des dernières années, il est devenu son propre plus grand ennemi : son égocentrisme, sa paranoïa personnelle et publique, son avarice, son incitation permanente et son orgueil démesuré ont unifié l'opposition à son égard de tout le spectre politique au point qu'ils ont uni leurs forces pour réussir à le faire tomber », mitraille Sever Plocker dans les colonnes du Yedioth Ahronoth, le quotidien israélien le plus vendu.
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Israël tourne la page Netanyahou avec une alliance hétéroclite de huit partis
Nouveau premier ministre, Naftali Bennett, dirige cette improbable coalition "anti-Bibi" à la majorité très fragile. Correspondant à Jérusalem C'est la fin d'une époque. Après quelque 4350 j...
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