... demander de quelle nature sont ses connaissances.
Et puis quand on s'annonce comme un "save', quel intérêt de servir deux présidents incompétents aux connaissances réduites et corrompus ?
Après JOUTHE, LUBÉRICE rejoint le groupe des "serviteurs" de JOVENEL qui se disent frekan, arrogant, comme s'il s'agissait d'une qualité alors qu'un grand nombre d'Haïtiens -avec ou sans diplômes- affichent arrogance et mauvaises manières.
LUBÉRICE au lieu de faire sa guerre-guerre avec ses anciens complices ferait mieux de s'expliquer sur l'origine de l'argent cash trouvé chez JOVENEL, dont il disait qu'il l'amassait pour créer une banque.
Et puis encore, comment ce fidèle des fidèles - d'après SCOOP il aurait été l'éminence grise du régime- n'a pas reçu un appel au secours de JOVENEL quand - selon son épouse et les résultats de l'enquête il appelait ses proches.
LUBÉRICE, de même que tous les proches collaborateurs de JOVENEL, les DORÉ, etc, devrait être interrogé par le juge...S'il s'agissait véritablement de rechercher les auteurs intellectuels, financiers et les exécuteurs de l'assassinat.
D'ailleurs si ce M. avait les connaissances dont il se targue - dans quel domaine ?- il aurait dû spontanément se présenter à la justice afin d'aider l'enquête en témoignant de ce qu'il sait, ( je ne parle pas de ses fameuses connaissances) suite à une longue collaboration avec les deux régimes tèt kale.
Qu'est-ce que le pays en à cirer de ses relations qui ont tourné mal avec les MARTELLY ?
Par ailleurs, franchement qu'un ex- secrétaire de la présidence traite les gens de kokorat, est du niveau d'un BOB C et appelle à ce que disent les enfants ici : "C'est celui qui le dit qui l'est."
Dame Martine lors d'un incident entre ses gardes du corps et A CHERAMY, avait dit à celui qui était à l'époque sénateur,'"Il faut élever le niveau", encore une "frekan" qui au lieu d'avoir la courtoisie de s'excuser, - qu'est-ce que ça lui coutait de dire avec politesse: M; le sénateur je suis désolée pour cet incident malencontreux,.
Mais comme elle se prenait pour une toute puissante - ce qui équivaut en Haïti à être mal élevé, sans respect, sans égards, il lui était impossible de comprendre que son soi-disant rang de première dame réclamait une conduite polie, tranchant sur celle de ses gardes du corps.
Manifestement les soi-disant connaissances de LUBÉRICE en communication politique n'ont pas eu d'impact positif sur le comportement de son amie, ni sur les discours délirants et puériles du défunt qu'il conseillait.
Renald Lubérice monte volim nan: e di zòt se konesans li bay valè...e zòt pat rete lekòl.
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