... être président.
Je ne sais pas s'il comprend l'anglais.... Le témoignage de cette jeune femme est important.
Elle s'exprime clairement et montre les difficultés du métier, notamment le fait que le gouvernement ne subventionne pas les fermiers, que les banques ne leur font pas de prêts.
Cependant, cependant , M. LATORTUE, cd n'est pas tout, regardez ce que fait son mari qui s'occupe d'organiser la vente.
Et puis M. Y LATORTUE, souvenez-vous de l'entrepreneur Louis Déjoe, il était candidat ä la présidence, mais il avait trop plein d'idées pour que les USA ne lui préfèrent pas cet ignoble prétentieux et parano DUVALIER F- lequel n'avait rien réalisé dans le pays, se contentant d'être le médecin employé par la Mission américaine (aujourd'hui USAID) pour lutter contre le pian. Fidèle employé qu'il restera jusqu'ä sa mort , son fils reprenant la fonction.
Donc M. Y LATORTUE, à mon avis, il vaudrait mieux vous consacrer pleinement ä votre ferme, à la fabrication de produits dérivés, à la culture et l'exportation de produits bio dans les pays de lq Caraïbe où la demande est forte ( genre Barbade, Bahama où les touristes de luxe actuels veulent des produits sans pesticides): Il y a de quoi faire et... devenir
Haïti a nettement moins besoin de président à la solde de la CI que d'entrepreneurs compétents, audacieux et courageux qui restructurent l'industrie de l'alimentation dans ce pays dévasté par les rapaces..
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