... nasillarde déclarer , re-déclarer, affirmer, couper la parle son interlocuteur ( technique banale pour faire perdre à celui-ci le fil de sa pensée) faire semblant d'être sage ( une des postures des Haïtiens les plus roués) qu'il refuse que les Haïtiens désignent la CI comme la principale responsable du détournement, déroutement de la trajectoire du pays en accumulant depuis son indépendance des obstacles difficilement contournables dans le rapport de force inégal.
Je ne sais pas comment Haïti a pondu des Gérin Alexandre( génétique ?) qui vous foutent en colère et vous font honte avec leurs dénis, leur révision de l'histoire dont ils tirent bizarrement ( perversion ?) une sorte de jouissance. Pour plaire à qui ? Pour se blanchir de leurs propres turpitudes en mettant tous les Haïtiens dans le même sac ? Pour entraîner les jeunes à intérioriser leurs réflexions humiliantes et mortifères ?
Je ne sais pas combien d'écrivains, combien d'historiens, combien d'économistes ont écrit avec des références factuelles, sur le rôle négatif joué par les ex-puissances coloniales et les USA dans la politique d'Haïti. Allez faire une visite à la Bibliothèque nationale française (BNF) à celle de Londres et vous aurez le vertige face au nombre d'ouvrages traitant de Saint-Domingue, puis d'Haïti.
Ce Gérin qui veut faire passer tous les Haïtiens (sauf lui ?) pour des salauds fait comme si des poussons pris dans un filet qui se débattent auraient des chances de sortir vivant de ce filet. Il serait capable vu la mauvaise foi ( voir Sartre pour la définition du terme) d'affirmer que les Haïtiens sont responsables de l'épidémie de choléra.
Bref quand je lis dans la presse dominicaine cet article El SOS de Ariel Henry: ¿esperanza o repetición del fiasco? qui raconte les tribulations d'Haïti avec ses relations difficiles avec la CI dès son indépendance. Un texte que les dits journalistes qui travaillent dans les media haïtiens auraient intérêt à lire de manière à s'informer sur leur histoire.
Du texte je retiens cet extrait ( ceux qui lisent l'espagnol peuvent le traduire pour tous les Gélin qui pullulent dans les media haïtiens)
"Luego del terremoto de 2010, el director general del Fondo Monetario Internacional, Dominique Strauss-Kahn, llamó a los Estados del mundo a lanzar una especie de plan Marshall para Haití. Para utilizar sus propias palabras, dijo que no podía ser una simple ayuda puntual, sino algo más vasto, que implicara la reconstrucción del país, como se hizo en Europa, tras la Segunda Guerra Mundial.
Y no podía ser de otra manera. Toda proporción guardada, la destrucción, tanto provocada por el hombre como por la naturaleza, que ha sufrido Haití desde su independencia, en 1804, hasta hoy, es superior a la destrucción que sufrió Europa del Oeste durante la última guerra.
La reconstrucción del viejo continente se concretizó porque fluyeron los capitales. Esto, sumado a la calidad de sus recursos humanos y al desarrollo científico-técnico acumulado, permitió que resurgiera de sus cenizas en poco tiempo.
Otra es la historia de Haití, el país más maltratado por el capitalismo mundial. Allí, la ayuda siempre ha sido muy por debajo de la magnitud de sus crisis y la pobreza generalizada no ha permitido el desarrollo de sus recursos humanos; los pocos que ha podido desarrollar, han emprendido el camino del exilio."
Sinon, vous pouvez suivre les réflexions de F. Estimé sur le sujet des' bottes ferrées' dans le lien.
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DLO A SAL: Sekretè Jeneral ONU a Antonio Guterres mande pou Konsèy Sekirite a ekzamine demand Ayiti
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