... avez saboté la commémoration des 200 ans d'indépendance de votre pays, applaudit aux cris de "kite peyim mache" le "plasaj" d'un bandit "legal" à la tête de votre pays au moment où ce pays avait le plus besoin d'une personne honnête et compétente suite au tremblement de terre, vous qui avez accepté son poulain comme si un bandi legal pouvait accoucher d'autre chose que d'un bandi legal amelyore"- c-à-d la version noire, issue du monde des paysans analphabètes...
Vous donc qui, depuis quelques temps, ne jurez plus que par les mines, sans rien en savoir des dangers de leur exploitation, veillez à ne pas tomber dans le piège des compagnies minières canadiennes qui exercent un chantage sur le pays consistant à imposer la signature de contrats en échange de la sécurité.
Faîtes gaffe bande de niais qui n'avez rien appris du fonctionnement du capitalisme et persister à battre votre coulpe avec des " c'est ma faute" qui réjouissent vos exploiteurs qui ne demandaient pas tant d'auto-flagellation de votre part.
L'article
La Cour interaméricaine des droits de l’homme a commencé à se pencher mercredi sur la responsabilité de l’Etat péruvien dans les conséquences présumées des activités d’une mine sur la santé des habitants de La Oroya, considérée comme l’une des villes les plus polluées au monde.
Les juges de la cour ont écouté mercredi les habitants de cette ville située à 175 km à l’est de Lima, qui souffrent depuis des décennies d’une exposition chronique aux métaux lourds (plomb, cadmium et arsenic).
Rosa Amaro, une femme de 74 ans qui a vécu jusqu’en 2017 dans la ville andine, a raconté lors d’une audience publique à Montevideo comment les habitants souffraient de brûlures aux yeux et à la gorge, de maux de tête et de difficultés respiratoires.
Celle qui préside le Mouvement pour la santé de La Oroya a raconté que dans son cas, après avoir subi deux fausses couches, elle avait dû suivre à 43 ans un traitement de fertilité. De ses deux enfants, l’un est sourd, a-t-elle ajouté.
« Je ne peux pas fermer la main correctement, j’ai des mouvements involontaires dans mon pied », a témoigné Yolanda Zurita, 63 ans, ajoutant qu’elle avait souffert de tumeurs, crises d’épilepsie et douleurs rénales.
« Ma santé est déjà détruite. Tout ce que je veux, c’est que les générations futures soient en bonne santé », a-t-elle assuré.
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Pollution au Pérou: la Cour interaméricaine se penche sur la responsabilité de l'Etat
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