... fait parfois du bon travail, on a peur qu'il ne soit assassiné. De plus, les descendants des militaro/macouto/duvaliéristes, les enfants et/ou petits-enfants des chefs de section, traitent de "sousou "ceux qui reconnaissent les qualités d'autres personnes qu'eux, dans la mesure où ils ont été formatés par le slogan appris et mis en pratique par leurs parents : " La reconnaissance est un péché."
Les laudateurs du fouet de l'esclavage, du kokomakak, des superstitions de toutes sortes qu'ils affirment être vérité, lesquelles bizarrement n'ont jamais été démontrées ni non plus n'ont jamais montré une quelconque utilité dans la participation à améliorer les conditions de vie de la population, sont ceux qui déconsidèrent systématiquement les Haïtiens, encourageant le "Haitianbashing" utilisé par les tenants du statuquo pour maintenir domination et exploitation.
Bien entendu nombreux sont ceux qui participent à ce "Haïtianbashing" par pur mimétisme, pour se faire bien voir ( genre moi je suis supérieur à ces gens-là), par dépit et frustration de voir leur pays se détériorer jour après jour.
Ce ne sont pas de ceux-là dont nous parlons mais de ceux qui de manière hypocrite prétendent que ces conneries de pwen sont vraies mais qui en réalité savent parfaitement que ça fait l'affaire des gangsters trop heureux de savoir que les canards sauvages les croient protéger des balles et les ougan qui se retrouvent " tout puissant après dieu" grâce à cette organisation voulue de l'ignorance et de la peur.
MORVAN ne serait pas tombé dans cette honteuse affaire d'excuses à J.Napoléon si au lieu de se fier à des commérages et superstitions, il avait travaillé à fonder une plateforme d'information commune. Parce que ceux qui en feraient partie, qui contribueraient à la faire fonctionner aurait vérifié la véracité de ce qu'il rapporte, de manière à ne pas être impliqué dans des procès pour diffamation, lesquels occasionnent des dépenses considérables, même s'ils sont remportés à la fin.
La dérive de MORVAN - un M. pourtant sympathique- est une métaphore de celle d'Haïti. On retrouve dans ce cas, d'un côté l'absence de coopération, de coordination, d'échanges, de reconnaissance du travail des autres, de mise en commun des expériences, des données ; de l'autre l'égotisme, la folie des grandeurs les " Je suis X, okay", la prétention, l'ignorance et l'arrogance des dirigeants politiques.
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