Encore une fois une forte odeur de pétrole règne en Libye. Alors que Chine, Inde et Algérie pourraient rapidement reprendre du service dans ce pays membre de l'Opep, doté d'un brut nécessitant peu d'opérations de raffinage, les Etats-Unis tentent d'«intimider» le colonel Kadhafi par une voie autre que la voie militaire. A moins que l'intimidation ne vaille également pour les compagnies pétrolières asiatiques, lesquelles seraient tentées de profiter de la situation pour se faire une place de choix sur l'échiquier énergétique mondial en avançant leurs pions sur le territoire libyen.
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