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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


la chronique du Fourbe

Publié par siel sur 9 Mars 2011, 10:14am

Catégories : #CULTURE

09 février 2011

Grand bruit dans le Landerneau de la magistrature, après la dernière sarkolinade du Fourbe :

  Ne reculant devant rien, cette gouape avait pris pour prétexte l’horrible assassinat d’une jeune femme découpée en morceaux par un fou, pour se remettre en selle et clouer au pilori les grippeminauds, ces pelés, ces galeux d’où venait tout le mal, et qui avaient laissé échapper le foldingue.

 Le Fourbe leur vouait une haine tenace, comme pour tous ceux qui avaient un diplôme qui ne fut point en peau de lapin, comme le sien.

   Il jubilait, devant les étranges lucarnes : 

 Les responsables des fautes seront recherchés et punis ! 

 

   le-rastaquouere-1293560869.1297264464.jpg 

 

   Réponse de la bergère au berger, les grippeminauds en rébellion avaient rétorqué que le responsable était le Fourbe lui-même, qui, par son irresponsabilité et sa haine hystérique de tout ce qui était service public, les avait privés de tout moyen.

  Et les argousins de renchérir qu’eux aussi en avaient par-dessus la casquette, des rodomontades du Fourbe, de ses lubies et de ses lâchetés :

 LAFOTAKI ? CELAFOTA !Alors qu’il était le premier responsable du désastre.

Ce que n’avait pas manqué de pointer Galouzeau le fol 

http://abonnes.lemonde.fr/politique/article/2011/02/06/alliot-marie-pornic-villepin-denonce-un-deux-poids-deux-mesures_1475937_823448.html

Déjà, deux escadrons de chevau-légers CRS s’étaient révoltés, devant la fermeture i-né-luc-ta-ble de leurs casernes.

Oui, mais, voilà…c’étaient lesdits chevau-légers CRS qui assuraient la quiétude du Fourbe, lorsqu’il transportait son sarkocircus en province, faisant barrage au vil Peuple pour ne laisser passer que la valetaille sarkolâtre, triée sous la toise – car il exigeait qu’ils mesurassent moins d’un mètre soixante, pour ne point lui faire ombrage – pour assurer la claque.

Avec des préfets verts de peur et pissant dans leurs chausses, de peur de déplaire au minus atrabilaire.

 Et à chaque fois, une région toute entière paralysée et mise en état de siège, pour le bon plaisir du Fourbe.

  Lesdits chevau-légers l’avaient suavement fait savoir au Fourbe, disant qu’au prochain sarkocircus, ils mettraient la crosse en l’air, en le livrant tout cru au bon Peuple, pour qu’ils le déculottassent.

Et, miracle ! le Fourbe était devenu soudainement très compréhensif :

Les chevau-légers garderaient leurs casernes et leurs primes de sarkocircus…

 Mais tout ceci mettait en lumière l’inconscience irresponsable de ce crétin du Danube, qui cherchait des bâtons pour se faire battre :

Eût-il commis cette bourde au joli mois de Mai, et c’était la France toute entière qui descendait dans la rue, comme à Tunis ou au Caire, pour exiger le départ du clan Ben Sarkosy et de leurs nervis.

C’était même à se demander s’il ne recherchait pas quelque échappatoire par lequel, perdu pour perdu, il mettrait la France entière à feu et à sang… 

Le mois de Mai restait encore à venir…  

Un malheur n’arrivant jamais seul, Alliot Marie la Glace,....

 

La suite de la savoureuse chronique de Pangloss: link

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