C’est Jacob Lew, le secrétaire au Trésor des États-Unis, qui a tiré la sonnette d’alarme dans une lettre aux dirigeants du Congrés américain, publiée aujourd’hui.

 

Selon lui, les conséquences pour les États-Unis seraient beaucoup plus graves qu’en 2001, lorsqu’une situation similaire avait fait baisser la notation du pays.

 

Jacob Lew a précisé qu’il ne resterait dans le trésor que 30 milliards de dollars (environ 22 milliards d’euros) d’ici trois semaines, alors que les obligations financières des États-Unis seraient deux fois plus importantes.