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La citation çi-après devrait vous rappeler quelque chose.
Le bain de sang annonçé par l'émissaire barbadien de l'OEA.
Le séisme imminent.
La famine aux portes.
Comme si elle ne l'était pas auparavant- vu que pendant 5 ans le gouvernement rose - arrivé avec pour nom : Repons Peyizan - ne s'est nullement préocupé d'améliorer les conditions de travail des agriculteurs.
Aucun plan de récupération des eaux de pluie en vue de l'irrigation, ni de travaux de canaux d'irrigation, ni de travaux d'adduction d'eau à partir de sources existant en nombre dans le pays.
Mais aller checher l'eau et la distribuer, ça à un coût. Ce coût là ne rentre pas dans less priorités de l'Etat haïtien qui préfère de loin des solutions du genre "Le Centre". à l'île de la Gonâve dont l'objectif - de même que Caracole- est, entre autres, d'en finir avec la production agricole haïtienne, la protection de l'environnement et le bien-être de la population.
Aussi, les dégâts provoqués par la sécheresse ont pour origine la même politique que ceux causés par le tremblement de terre ( 200 000 morts).
De même que "Le Centre" apportera son quota de paysans sans terre, de déplacés, de bidonvilles aux alentours de ce centre de prospérité - réplique de Pétion-Ville- de prostitution, de trafic de drogue, de délinquance, style Mexique, comme jamais vu auparavant en Haïti.
Et vous savez quoi ?
Ceux qui ont conçu ce projet le savent. Et c'est le dernier de leur souci.
Le bordel ça leur plaît.
En réalité, ça les fait frissonner de plaisir, tous ces pauvres mendiants à leurs portes, alors qu'eux nagent dans le luxe, protégés par leurs murs et leurs gardes armés.
Cette pratique d'accaparement de terres et de territoires par des multinationales, qui se retrouve dans beaucoup de pays du Sud - même au Vietnam, qui l'eut crû ?- est présenté comme un signe de développement.
Développement ou enveloppement ?
Alors que tous les peuples du monde sont en lutte en ce moment même pour la survie de leur environnement, le gouvernement haïtien qui croit, en plein 21ème siècle réinventer la roue, promeut un projet à forte odeur d'apartheid.
La citation :
SIXIÈME ÉTAPE : Publications de mises en garde à la fois hystériques, et empreintes de solennité, annonçant l’apocalypse en cas de rejet du candidat des élites, dès l’instant où la possibilité d’une défaite devient imminente (des décennies - voire des générations - d’impuissance vous attendent, si vous passez outre nos décrets en matière de sélection du candidat).
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