Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le Monde du Sud// Elsie news

Le Monde du Sud// Elsie news

Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Lepetitbateau, un des sots, arrogants (pléonasme) parmi les Alsov, Jsudit, RochordRoche,trouillot, Soifdemonpays, NaptravaypouHaïti, gérard, Jude, etc, veut apprendre le français à Meus Beo...Imaginez cette hérésie...!

Publié par siel sur 9 Juin 2017, 11:42am

Catégories : #LU SUR LE NET, #AYITI ROSE RAKET, #AYITI EXTREME DROITE, #REFLEXIONS perso, #PEUPLE sans mémoire...


Avatar
Meus Beo • il y a 11 heures
Contrairement à ce que les médias tentent de véhiculer, à savoir Guy Philippe a cité des noms, je pense qu'on doit prendre cette information avec un grain de sel.


Lepetit Bateau Meus Beo • il y a une heure
Monsieur connaissance idoine,on ne dit pas prendre une information avec un grain de sel qui va fondre.On dit:Cette information est à prendre avec des pincettes.Cela veut dire:il faut douter de sa véracité,de son exactitude.Vous voyez que vous n'avez pas la connaissance idoine pour construire une simple petite phrase.Cela confirme votre maîtrise en "idiotcratie".Je vous l'ai déjà dit:je peux vous apprendre beaucoup de choses.Le français est une langue de précision.Méfiez vous.

Vous remarquerez  :

1- que le dit de  Meus Beo  :   "je pense qu'on doit prendre cette information avec un grain de sel." est transformé par lepetitbateau en : "on ne dit pas prendre une information avec un grain de sel qui va fondre "

2 - que l'expression " prendre avec un grain de sel "existe bel et bien. En latin, en français - même si peu usitée - et en français du Québec. Et que d'ailleurs son sens diffère de "prendre avec des pincettes"

3- que l'ignorant lepetitbateau qui n'écrit que sottises sur le net a l'audace de déclarer :" Cela confirme votre maîtrise en "idiotcratie".Je vous l'ai déjà dit:je peux vous apprendre beaucoup de choses.Le français est une langue de précision.Méfiez vous.

En passant, question "le français est une langue de précision" idiocracie  s'écrit sans t. Sombre idiot ! Et il est ici totalement mal employé.

4- que l'ensemble du cartel des malfrats cités plus haut  qui appellent sans cesse et systématiquement sur Le Nouvelliste à la violence, à l'extermination et  dont est membre  lepetitbateau possèdent un cocktail de caractéristiques au menu de l'échec haïtien : arrogance et ignorance, suffisance et prétention, sottise et turpitude, haine et violence.

5- Lepetitbateau, c'est comme Martelly voulant donner des leçons de droit à Mirlande Manigat, comme ce présentateur  de radio, Bob C, voulant donner des leçons de philosophie à Josué Mérilien. C'est comme Jovenel Moïse, un inculpé pour soupçons de blanchiment d'argent,  qui annonce  son intention de faire une politique basée sur la transparence et la justice.

C'est comme le sénateur K. Augustin sur une antenne de radio, criant, - hurlant plutôt - de manière à empêcher son interlocuteur d'en placer une, déclarant que la déportation n'existe pas dans le droit français et donnant au mot une fausse définition. A croire que dans ses lectures, au cours de ses études de droit  le sénateur K. Augustin n'a jamais entendu parler du bagne de Guyane. Qu'il aille donc visiter celui de Saint Laurent du Maroni - il en profiterait pour rencontrer la forte communauté haïtienne qui vit dans cette commune.

La déportation de Français a une histoire connue et tient une place importante dans l'histoire de France. La déportation a été définitivement supprimée du droit français pendant la présidence du général de Gaulle, par une ordonnance du 4 juin 1960.

Bref. Même quand il s'en trouve comme K. Augustin qui ont fait quelques études, ils sont tellement blindés de certitudes, bouffis de prétention,  incapables d'écouter et privés de de l'humilité qui fait dire au  vrai savant : " Plus j'apprends plus je m'aperçois que je ne sais pas " (Galilée) qu'ils en arrivent à devenir aussi mesquins et stupides que les imposteurs : petitbateau, jsudist, naptravaypouhaïti, Anacaona, soifdemonpays, gérard, trouillot, jude, RochordRoche e la triye.

Et donc à être, comme pratiquement tous les parlementaires siégeant dans les 2 Chambres, une nouvelle génération perdue pour Haïti qui, pour relever l'ensemble des défis qui se présentent à elle, a un besoin impérieux de personnes éduquées - dans tous les sens du terme, comme qui ne hurlent pas pour intimider - de personnes qui connaissent leurs limites et sont toujours disponibles pour écouter et apprendre afin de corriger leurs erreurs et de s'enrichir du savoir des autres.

Mots de tête : « prendre avec un grain de sel » FIN DU TITRE DU CONTENU | CONTENT TITLE ENDS

Frèdelin Leroux fils
(L’Actualité terminologique, volume 31, numéro 1, 1998, page 23)

M. Lévesque, qui prenait les menaces avec un grain de sel… 

(Lise Bissonnette, Le Devoir, 14.1.83)

Dans une vieille fiche qui date de 1969, le Comité de linguistique de Radio-Canada nous explique la différence entre « prendre avec un grain de sel » et « with a grain of salt ». Dans le premier cas, nous dit-il, l’expression signifie « avec humour », « sans prendre au sérieux ou à la lettre », alors que la locution anglaise signifie « avec réserve », sans nuance d’humour.

Ce qui m’étonne le plus dans cette fiche, ce n’est pas la distinction un peu trop fine à mon goût que le Comité tente d’établir, c’est qu’il soit parvenu à dénicher « prendre avec un grain de sel » dans les dictionnaires. J’ai eu beau chercher, on ne trouve que « cum grano salis ». Dans le Larousse du XXe siècle1, par exemple : « cum grano salis (Avec un grain de sel), loc. lat. dans laquelle le mot sel a le sens figuré de enjouement, de badinage, et que l’on emploie pour faire entendre que ce qu’on dit ne doit pas être pris au sérieux ». Avec une citation de Renan où l’on voit bien l’idée d’humour. Dans le Dictionnaire Quillet2, qui donne sensiblement la même explication : « parler plaisamment, à la légère ». Et dans les Mots latins du français3 : « Locution […] qu’on emploie pour indiquer que ce qu’on dit veut faire sourire et ne doit pas être pris à la lettre. » Tout le monde s’entend à merveille sur le sens de l’expression latine, mais toujours aucun signe de son équivalent français.

Dans ses Linguicides4, Grandjouan emploie lui aussi la forme latine, mais il lui donne une extension de sens : « Il veut dire qu’elle prend ses promesses cum grano salis, qu’elle n’y croit guère, qu’elle demande à voir, enfin qu’elle est sceptique. » Sans nuance d’humour. Il est éclairant de comparer avec la définition du tour anglais :

with a grain (or pinch) of salt [Latinized as cum grano salis] with allowance or reserve; skeptically (Webster’s New World Dictionary, Third Edition, 1994)

Comme il s’est écoulé à peine deux ans entre la fiche de Radio-Canada (1969) et Les Linguicides (1971), on peut difficilement prétendre que le sens ait évolué. Alors comment expliquer l’emploi qu’en fait Grandjouan, lui qui est très peu porté sur l’anglicisme? Il se pourrait que la tournure latine ait toujours eu les deux sens, mais que les dictionnaires aient préféré n’en retenir qu’un seul.

Au Canada, l’expression latine est rarissime. Nous employons volontiers la tournure française, le plus souvent avec le sens « anglais ». Mais dans l’exemple de Lise Bissonnette cité en exergue, si on peut présumer que M. Lévesque ne prenait pas les menaces au sérieux, je n’y vois pour ma part aucune nuance d’humour. La plupart des exemples que j’ai relevés oscillent entre les deux.

Y compris les dictionnaires. Bruno Lafleur ne retient que le sens que Grandjouan donne au tour latin :

Prendre (qqch.) avec un grain de sel. – Ne pas prendre trop au sérieux; rester sceptique; se méfier5.

Mais le Dictionnaire pratique des expressions québécoises6, quant à lui, ménage la chèvre et le chou :

prendre qqch. avec un grain de sel : douter de la vérité de qqch., prendre qqch. avec humour

Tous les autres dictionnaires québécois sont muets. Et les français aussi.

Heureusement, leurs confrères bilingues ne le sont pas tout à fait. Le dictionnaire Harrap’s7, par exemple, dans son édition de 1948, ne donne pas moins de six traductions de to take a story with a grain/pinch of salt, dont prendre l’histoire avec un grain de sel. Mais cet équivalent a disparu des deux éditions abrégées parues récemment (faute d’espace, sans doute). Presque quinze ans auparavant (1934), le dictionnaire Petit8 traduit to take with a grain of salt uniquement par l’équivalent français. Ce qui est confirmé douze ans plus tard (1946) par le volume français-anglais9 : « prendre avec un grain de sel ». Il n’est question d’humour nulle part.

Par ailleurs, il faut bien dire que les Français n’abusent pas de cette tournure. Elle est très nettement moins répandue que chez nous. Néanmoins, elle se rencontre. Si, dans l’exemple suivant, on hésite entre les deux sens :

[…] j’allais souvent prendre avec un grain de sel les tuyaux de nos ambassades10.

On est à peine plus fixé avec celui du chroniqueur économique du Monde11 :

On a donc quelques bonnes raisons d’accueillir le thème de l’amérisclérose avec une grosse pincée de sel.

Mais avec l’exemple de Claudel12, je crois que le doute n’est plus permis : il s’agit de ne pas prendre au pied de la lettre :

Il faut beaucoup de grains de sel pour avaler des affirmations de ce genre!

Ce passage est tiré des « Conversations dans le Loir-et-Cher », qui datent de 1925!

On le voit, notre tournure a beau être assez rare en France, elle a le nombril sec depuis pas mal de temps : Guillain en 1937, Claudel en 1925, et le grand chirurgien Ambroise Paré dans la seconde moitié du… 16e siècle! Vous ne me croyez pas? Lisez plutôt :

Au reste il faut prendre ces deux aphorismes d’Hippocrate auec un grain de sel, c’est à dire avec ceste distinction, que ce qu’il dit est vray, pourueu, comme nous auons dit cy-deuant, qu’il ne se face aucune faute, ny de la part du malade, ny de la part de ceux qui le traitent et le sollicitent.

Si cela ne signifie pas « prendre avec réserve, sans nuance d’humour » (sens anglais, d’après le Comité), pour ma pénitence, je me tape toute l’œuvre de Paré.

Enfin, comme l’anglais nous a beaucoup emprunté, je me demande s’il ne s’agirait pas d’un vieux sens français que – sans l’anglais – nous aurions fini par oublier… Vous êtes libre de ne pas être d’accord. De prendre cette supposition avec autant de grains de sel que vous voudrez. Et même de mettre le vôtre, de grain.

NOTES

  • Retour à la note
    1 Larousse du XXe siècle, tome 2, Paris, Larousse, 1929.
  • Retour à la note
    2 Dictionnaire encyclopédique Quillet, tome 3, Paris, Librairie Aristide Quillet, 1969, p. 397.
  • Retour à la note
    3 Étienne Wolff, Les Mots latins du français, Paris, Éditions Belin, 1993.
  • Retour à la note
    4 J.O. Grandjouan, Les Linguicides, Paris, Didier, 1971, p. 67.
  • Retour à la note
    5 Bruno Lafleur, Dictionnaire de locutions idiomatiques françaises, Montréal, Éditions du Renouveau pédagogique, 1979.
  • Retour à la note
    6 A. Dugas et B. Soucy, Dictionnaire pratique des expressions québécoises, Montréal, Éditions Logiques, 1991.
  • Retour à la note
    7 Harrap’s Standard French and English Dictionary, Part Two, English-French, Harrap, London, 1973. (La dernière mise à jour date de 1948.)
  • Retour à la note
    8 Charles Petit, Dictionnaire anglais-français, Paris, Hachette, 1934.
  • Retour à la note
    9 Id., Dictionnaire français-anglais, Paris, Hachette, 1946.
  • Retour à la note
    10 Robert Guillain, Orient Extrême, Paris, Seuil, coll. Points Actuels, 1989, p. 15. Article paru dans Le Monde en 1937.
  • Retour à la note
    11 Paul Fabra, Le Monde, 18.11.86.
  • Retour à la note
    12 Paul Claudel, œuvres en prose, Paris, Gallimard, coll. La Pléiade, 1965, p. 692.

Template drtd_cpyr_guides.html Begins Contains the Guides' copyright notice.

Commenter cet article

J
Vs devez avoir une page facebook pr partager tout c info le secteur macoute est entrain de gagner le combat sur les réseaux sociaux avec tripotay lakay qui a plus de 200 000 likes avec des Stanley Lucas tripotay lakay c une page pro phtk qui partage souvent des info pr faire de la propagande pr eux Stanley Lucas un menteur professionnel vs attendez quoi pr avoir votre page facebook votre propre compte facebook ?
Répondre
S
Bonjour Jeff. Je répond un peu tard pour dire qu'effectivement je n'ai aucun des comptes que vous mentionnez. Par contre, je compte sur le réseau de lecteurs pour diffuser les articles que, selon leur sensibilité, ils pensent devoir intéresser un plus large public.<br /> Le blog demande beaucoup de travail, pas seulement de réflexions mais de recherches afin de s'assurer de la crédibilité des infos.<br /> Donc le temps manque...<br /> Je vous remercie de votre intérêt.
J
Votre propre compte youtube*
J
Tu n'as pas de page facebook?
Répondre

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents