Le journal a appris de sources proches de la BID que la décision de faire valoir la « non-éligibilité au décaissement de ces fonds » a été notifiée aux autorités haïtiennes. « Le parc de Caracol n’est pas géré. Il y a des problèmes de salubrité, de sécurité entre autres », a expliqué une de nos sources. Le coût élévé de l’électricité, la mauvaise situation du parc automobile pour le transport des travailleurs figurent parmi les problèmes connus de tous.
Le Nouvelliste a appris d’une autre source que le parc industriel de Caracol et la Sonapi ont été « donnés à des alliés du régime Tèt Kale qui font ce que bon leur semble mais pas ce qui est bon pour ces infrastructures ».
Remettre la gestion d'un parc industriel à des tèt kale, c'est être assuré d'avoir les même résultats que ceux de la gestion du pays : insalubrité, insécurité entre autres...
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