Comment l'homme ordinaire peut-il savoir que l'élément le plus violent dans la société est l'ignorance ?
Résultat -très édifiant, n'est-ce pas ? - sept ans plus tard, des taxes prélevées par les tèt kale sur la diaspora pour soit-disant financer l'éducation.
Budget et bilan, rappelons-le - demeurent un secret d'Etat bien gardé dans les coffres forts des ayant-droit à la corruption.
« Par ailleurs, les résultats scolaires ne sont pas très prometteurs. En moyenne, à l'âge de 18 ans, les enfants haïtiens ont fréquenté l’école pendant 11,4 ans, ce qui équivaut à un apprentissage rajusté de 6,3 années représentant le score le plus bas de la région.
Ci-dessous, toujours d'après la BM, le bilan de l'investissement en soins de santé des fonds Petro Caribe au cours des 7 années au pouvoir des tèt kale.
« À l'échelle mondiale, Haïti se classe au 112e rang de l'indice de capital humain de la Banque mondiale. Ainsi, un enfant né aujourd'hui en Haïti n'aura, à l’âge adulte, que 45% de la productivité qu’il aurait pu avoir s’il avait bénéficié d'une santé et d'une éducation complètes.
Toujours, selon la BM, les progrès observés entre 2005 et 2016 - qui se comptent tête en bas, celle de " Haïti is open for business" un slogan maquillant une escroquerie à vaste échelle ( bracelets roses, tôles rouges, taxes sur la diaspora, gouvènman lakay, caravane) qui fait de la corruption et de l'enrichissement personnel une politique d'Etat.
La mortalité maternelle est passée d'environ 523 pour 100 000 naissances vivantes en 2005 à 646 pour 100 000 naissances vivantes en 2016.
« À l'échelle mondiale, Haïti se classe au 112e rang de l'indice de capital humain de la Banque mondiale. Ainsi, un enfant né aujourd'hui en Haïti n'aura, à l’âge adulte, que 45% de la productivité qu’il aurait pu avoir s’il avait bénéficié d'une santé et d'une éducation complètes.
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