...Métrople.
Première question avant de parler de cette fable de " famille d'entrepreneurs"., pourquoi dame Martine n'a pas appelé son beau-fils au moment où l'attaque a eu lieu, pour lui demander de remuer ciel et terre pour venir au secours de son père ?
Deuxième question : quand est-ce que le beau-fils de dame MARTINE a appris l'assassinat de son père. Et par qui ?
Je n'ai rien contre ce jeune homme - on ne choisit pas sa famille- propre sur lui et intelligent, auquel je ne souhaite que du bien. Cependant, je lui conseillerais d'éviter le chemin pris par son père- celui des mensonges- qui l'a conduit à cette fin sale et tragique.
JOVENEL : "Je viens d’une famille nombreuse et modeste de Trou du Nord. Mon papa est cultivateur-mécanicien. Je suis allé à l’université à Port-au-Prince, puis je me suis mis tout de suite à travailler. Quand je me suis lancé dans cette aventure, il y a vingt-deux mois, j’étais à la tête d’une des plus grosses entreprises du pays pour la production industrielle et le négoce international de bananes."
NON JOVENEL. Tu mentais. Jamais tu n'a été "à la tête d’une des plus grosses entreprises du pays pour la production industrielle et le négoce international de bananes."
C'est faux et archifaux.
A moins que du côté de la mère de JOVERLEIN, il y ait eu des entrepreneurs, la famille de son père est une famille de paysans. Et il n'y a aucune honte à ça. JOVENEL a tenté de faire du business dans la vente d'eau Culligan, dans l'agriculture avec AGITRANS, les deux initiatives ont été un échec.
Il est vrai qu'en Haïti posséder un commerce de vente de riz, de produits importés des USA et de la RD vous octroie le statut d'entrepreneur.
Le " sale Mulâtre" Dimitri VORBE appartient à une famille d'entrepreneurs, ce qui signifie qu'il y a des générations de VORBE qui ont investi leur argent, ont emprunté pour créer des business en Haïti.
SOGENER qui bénéficiait de mauvais contrats avec l'État, payait ses employés correctement ( à l'échelle des salaires haïtiens) les assurait, leur fournissait un repas chaud à midi. DIMITRI a redistribué, sans doute chichement, une partie de ses gains en sponsorisant, chars de carnaval, équipes de foot, artistes, et en payant des pubs aux radios.
Peut-on en dire pareil d'APAID, d'ACRA et autres syro-libanais ?
APAID qui a joui de défiscalisation, d'exemption de droits de douane pendant 10 ans je présume que ce sera le cas avec son entreprise à la Savane DIANE, (puisque malin comme il est il en a fait une zone franche) qui paie ses employés de ses sweat shop au lance pierre ( salaires de misères suffisant uniquement à survivre) est présenté comme un bon Syro-Libanais parce que financier de la campagne de JOVENEL. De même que SHERIF A. louant ses hélicoptères une fortune à celui qu'il avait contribué à faire " roi".
Certains membres de la grande famille VORBE ont bénéficié de privilèges éhontés (mais pas plus que d'autres ignorés des Haïtiens, comme les REIMERS, et la famille qui produit le l'orange amère qui rentre dans la fabrication de liqueur française, Grand Marnier ( Cette famille liée aux DUVALIER est multi-millionnaire) et ceux qui font commerce du Vétiver aux CAYES.
S. LUCAS vous en a déjà parlé ? NON. parce qu'en bon populiste il dirige la vindicte de la populace vers ceux parmi les entrepreneurs les moins liés aux capitaux internationaux.
Il faut se rappeler que Philippe VORBE a été prof dans l'université d'Etat, que des VORBE, jusqu'au plus jeune actuellement, ont joué dans la sélection nationale de foot.
BON, je ne vais pas faire un plaidoyer en faveur de DIMITRI VORBE, il s'agit de faire apparaître la démagogie d'un S. LUCAS ( l'homme du groupe de BOURDON et du groupe black-out) qui, ceci ne vous aura pas échappé, ne cite jamais d'autres fournisseurs d'électricité comme ROUZIER de EPOWER se focalisant uniquement sur DIMITRI VORBE, connu pour ne pas être un copain des tèt kale, de LUBÉRICE et consorts, lesquels rêvent de prendre sa place. C'est ainsi que le le fameux CÉLESTIN ( fameux pour ses opérations immobilières À MONTRÉAL) a obtenu un contrat pour l'achat du mazout.
Cet enfant de JOVENEL devait, à mon avis, suivre les conseils de sa mère, la femme qui l'a bercé et éduqué, afin d'éviter de tomber dans le gang des "san manman" les DUVALIER F. les MARTELLY et les JOVENEL (son propre père) dont on ne connait pas les mères qui les ont élevées.
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