...d’importance en termes de notre intérêt."
Voici un extrait sur les relations entre DUVALIER F et les USA à destination des tèt pete abonnés au Live du juriste bo katedral et autres TORCHON, ainsi que fidèles auditeurs de l'ensemble des marchands de micro, propagandistes d'un DUVALIER indépendant, et autres mensonges employés il y a plus de 50 ans, les mêmes remis au goût du jour pour vendre JOVENEL : Noir, patriote, luttant pour les pauvres contre "les oligarques corrompus" etc. ( DUVALIER lui ciblait les mulâtres étant donné que les syrolibanais le soutenaient financièrement et faisaient du lobbying pour lui à Washington.)
EXTRAIT
La dynastie des Duvalier
L’impitoyable dictateur François Duvalier a pris le pouvoir en 1957, alors que Fidel Castro menait une révolution à Cuba et que les intérêts américains dans la région se concentraient de plus en plus sur la limitation de l’influence de l’Union soviétique.
Duvalier, comme de nombreux autres dictateurs des Caraïbes et d’Amérique latine, a reconnu qu’il pourrait obtenir le soutien américain s’il présentait son gouvernement comme anticommuniste. Les responsables américains ont décrit en privé Duvalier comme « le pire dictateur de l’hémisphère», tout en le jugeant préférable au risque perçu d’un Haïti communiste.
Lorsque les États-Unis ont suspendu leurs programmes d’aide en raison d’atrocités commises peu après l’arrivée au pouvoir de Duvalier, le dirigeant haïtien a engagé des sociétés de relations publiques, dont une dirigée par le plus jeune fils de Roosevelt, pour rétablir la relation.
Duvalier – et plus tard son fils Jean-Claude – ont finalement bénéficié d’un soutien américain important sous forme d’aide (dont une grande partie détournée par la famille), de formation pour les forces paramilitaires haïtiennes qui continueraient à commettre des atrocités et même un déploiement de Marines en 1959 malgré les protestations des diplomates américains en Haïti.
En 1961, les États-Unis envoyaient à Duvalier 13 millions de dollars d’aide par an, soit l’équivalent de la moitié du budget national d’Haïti.
Même après que les États-Unis se soient lassés de la brutalité de Duvalier et de son leadership instable, le président John F. Kennedy s’est opposé à un complot visant à le destituer et à exiger des élections libres. À la mort de Duvalier près d’une décennie plus tard, les États-Unis ont soutenu la succession de son fils. En 1986, les États-Unis avaient dépensé environ 900 millions de dollars pour soutenir la dynastie Duvalier alors qu’Haïti s’enfonçait de plus en plus dans la pauvreté et la corruption.
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