... avoir fréquenté ce criminel sexuel qui se serait suicidé dans sa cellule.
Pourtant Moïse Jean-Charles aurait, selon le journal Miami Herald, été arrêté parce que aurait été trouvé des photos dans son tel avec un officiel du Venezuela accusé par les USA d'être un trafiquant de drogue.
Si l'on comprend bien pour le pays, USA, qui se dit la plus grande démocratie au monde, les relations d'Epstein, un délinquant sexuel reconnu, avec CLINTON et BUSH sont normales et non discutables.
Par contre, une photo de MoÏSE Jean Charles avec un présumé trafiquant de drogue (présumé parce qu'il ne s'agit que des déclarations des officiels américains, qu'il faudrait être ) le présente comme un délinquant.
Bref. Jean-Charles Moïse est un personnage complexe qui ouvre la porte à quantité d'interrogations. Cependan,t il l est important de montrer que les USA n'ont aucune raison logique de retirer son visa à un M. qui aurait fait des photos avec un dignitaire du Venezuela alors même que deux de leurs anciens présidents en ont fait avec un prédateur sexuel.
Give us a break. Arrêtez de vous jouer de nous." Sispann pas nou nan betiz" Et occupez-vous de préférence des trafiquants de drogue impliqués dans l'exécution de JOVENEL.
Le samedi 10 août dernier, le milliardaire américain Jeffrey Epstein mettait fin à ses jours en prison. Accusé d’avoir utilisé des dizaines de mineures, entre 2002 et 2005, en tant qu’esclave sexuel, ce dernier était au cœur d’un incroyable scandale dont les répercussions pourraient être mondiales. De grands noms pourraient effectivement être liés aux obscures activités du milliardaire.
Epstein connaissait bien les Clinton
Proche du parti Démocrate il fut un temps, Epstein a été par exemple invité au mariage de Chelsea Clinton, la fille de Bill et Hillary Clinton. Il a également grandement participé à la création et au financement de la Fondation Clinton. Bill Clinton a d’ailleurs voyagé dans son avion afin de se rendre en Afrique. Selon les raisons officielles, l’idée était alors d’aller lutter contre le sida, sur place, en représentant la Fondation. « Il a été présent au cœur de toute cette vie politique new-yorkaise. Cela nourrit cette petite musique qui dit que les élites se croient tout permis, qu’elles sont au-dessus des lois. » confirme d’ailleursThomas Snégaroff, journaliste et historien spécialiste des États-Unis
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