ARGENTINE . Insécurité à Buenos Aires. Voici ce qu'on lit sur le site officiel du Canada mais dont les media occidentaux...

Publié par siel sur 1 Janvier 2023, 19:19pm

Catégories : #REFLEXIONS perso, #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ROSE RAKET, #AYITI ECONOMIE, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

ARGENTINE . Insécurité à Buenos Aires. Voici ce qu'on lit sur le site officiel du Canada mais dont les media occidentaux...

...ne vous feront jamais part.

Évitez tout voyage non essentiel

Votre sécurité pourrait être compromise. Vous devriez vous demander s’il est nécessaire de vous rendre dans ce pays, ce territoire ou cette région en fonction de vos besoins familiaux ou professionnels, de vos connaissances du pays ou de la région ainsi que d’autres facteurs. Si vous êtes déjà sur place, demandez-vous si vous devez vraiment y être. Dans la négative, vous devriez songer à partir.

Évitez tout voyage

Vous ne devriez pas vous rendre dans ce pays, ce territoire ou cette région. Votre sécurité personnelle est fortement compromise. Si vous êtes déjà sur place, vous devriez envisager de partir si vous pouvez le faire sans danger.

S'il y a une chose qui m'inquiète sérieusement en Haïti c'est que les Narcos utilisent les gangsters du style IZO pour revendre de la drogue frelatée - et d'autant plus dangereuse- aux jeunes des quartiers défavorisés. Ce qui leur ferait un nouveau marché local et augmenterait en puissance la criminalité.

En ce premier jour de l'année Il m'est venue une pensée sinistre, à priori sans fondements autres qu'un sorte d'intuition. Je me suis demandée si la CI/USA n'oeuvrait pas à déporter le trafic de drogue en Haïti. Vous savez de la même manière dont les déchets toxiques sont envoyés dans les pays du sud.

La situation d'insécurité liée à la consommation de drogue par les habitants est plus grave dans certains pays d'AM du Sud (Mexique, Argentine, Brésil, Honduras, Salvador, Colombie, Venezuela) qu'en Haïti.

Les politiques de lutte contre ce fléau ont pratiquement toutes échouées pour cause de corruption dans l'État et la police ainsi que la complicité des juges.

Donc il resterait une solution qui serait celle d'exporter le problème et de tenter de le circonscrire dans un pays qui comme Haïti a été conduit à se retrouver sans pilotes.

Cette intuition m'est venue après avoir regarder le docu intitulé La mafia à Cuba ( avant la révolution castriste) et comment des chefs mafieux avaient eu l'ambition de faire de CUBA un État dirigé par la mafia.

Or, ce que l'on constate - sanctions ou pas- c'est que les dirigeants actuels haïtiens issus de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale ne sont pas seulement inquiétés mais plutôt chouchoutés par la CI/USA. Et que ni les chefs de gangs -sanctions ou pas- ne sont pourchassés. Au contraire tout semble laisser croire que le mot d'ordre - celui de Mme LA LIME de l'ONU de GUTERRES, serait de les laisser vaquer à leurs occupations criminelles.

De sorte que l'on peut craindre que cette même CI/CORE GROUP/USA n'organise une vaste opération au cours des élections que ces entités réclament à cor et à cri d'intégration de ces bandits et de leurs patrons au sein de l'état, de la police, du parlement, de la justice et des autres corps de l'État, de manière à institutionnaliser - après l'avoir légalisé- le crime organisé.

Bien entendu tout ceci n'est que spéculations - même si s'appuyant sur une observation attentive des faits.

Mais comme on le dit : " Si tu veux la paix prépare la guerre" . Et il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir de nuisance de ses ennemis. Une erreur commise par la reine Anacaona et par Toussaint Louverture qui tous deux ont été liquidés par ceux qui leur proposaient un pacte de non agressivité.

Vous savez parfaitement que si la CI/USA/CORE GROUP avaient la volonté d'en finir avec le gangstérisme en Haïti, ils s'y prendraient autrement. Il leur suffirait d'éliminer les chefs de gangs et leurs protecteurs dans la police la justice et au sommet de l'État. Haïti étant un tout petit pays qu'il est possible pour les USA qui le gouvernent de transformer en enfer ou en paradis.

En ce sens le travail risqué de MORVAN contre les Narcos est bien plus important qu'on ne pourrait le penser.

Bizarrement, ce M. auquel à priori rien dans son parcours ne pouvait laisser penser qu'il comprenne le rôle des Narcos dans la situation politico/économique/sociale d'Haïti adresse un problème fondamental à combattre pour l'avenir du pays d'Haïti.

Le seul bémol c'est que MORVAN risque de se faire rouler dans la farine par ceux-là même qui prennent des sanctions contre certains individus mais qui les ont laissés- comme R. Célestin- transférer de l'argent cash dans leur pays sans jamais s' inquiéter de la provenance de cet argent.

Donc il ne faudrait pas que comme ANACAONA et TOUSSAINT LOUVERTURE , MORVAN ne se retrouve être le dindon de la farce des pays qui collaborent avec le crime organisé en Haïti tout en faisant semblant de le combattre

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