TT dénonce le James Jacques qui fait partie des " dan griyen" de Matin Caraïbes. J'ai entendu...

Publié par siel sur 2 Février 2023, 01:52am

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... V.NUMA parler de quelqu'un en disant qu'il avait bien la tête d'un voleur et que dans le cas de cette personne le délit de faciès fonctionnait.
Bien entendu c'est une connerie mais vous avez déjà l'habitude des lieux communs, des simplifications, des préjugés du M. " Ann di ke","Okay"

D'autant plus que si l'on devait se baser sur le physique des gens, leur habillement, leurs manières, leur langage, des types comme V. Numa avec leur tête rasée, leur exhibition de chaines en or, de montres (parfois 2 au même poignet), de bagues de bracelets serait assimilé à un souteneur, à un maquereau, à un" pimp" - voire à un trafiquant de drogue.

De même quand on voit la place prise dans Matin Caraïbes par ce James Jacques et à ses gestiulations,on n'a pas besoin que TT rappelle ces méfaits -qu'il a laissé une dette énorme au consulat en RD, qu'il picolait ( et picole encore) du vin qu'il payait en dollars US alors que les passeports de ces concitoyens restaient dans une placard- pour savoir que ce jeune homme est un malandrin. Et là, il ne s'agit pas seulement du faciès qui suinte la ruse de celui qui veut se faire passer pour un "pitit bondye" mais de ses propos. Le type vend, fait la promotion de l'absence d'éthique dans le politique - on comprend pourquoi , maintenant que grâce à TT on est informé de sa filouterie.

En passant, et en parlant d'impunité on peut remarquer qu'il y a une opération de blanchiment des Tèt kale martellystes et jovenelistes dans les media. Par exemple à Radio Métropole on a vu défiler : Guichard Doré, Evans Paul, Jean - Marie Théodat, Me Osner Févry. Les media haïtiens sont des habitués de ces opérations de blanchiment des personnes. C'est ainsi qu'on a vu après 2004, tous ceux qui avaient pillé le pays, tué, torturé, volé être reçus les deux bras ouverts et se conduire comme des petits jésus Das la crèche, vu que les jeunes générations ignorent leur passé et que les journalistes complices et serviles se gardent bien de les informer sur leurs clients.