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Le Monde du Sud// Elsie news

Le Monde du Sud// Elsie news

Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Le journalisme de préfecture en quelque sorte ceux qu'on appelle en Haïti les " marchands de ..

Publié par siel sur 1 Avril 2023, 15:33pm

Catégories : #INTERNATIONAL, #AYITI ROSE RAKET, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

... micro". Mais pas qu'eux. Vous trouvez également certains youtubeurs qui répètent qu' à cause des organisations des droits humains, les policiers ne peuvent pas combattre les bandits parcE qu'ils ont peur d'être sanctionnés par leur hiérarchie.

Bien entendu comme tous les refrains des marchands de micro celui-ci ne tient pas  plus debout.

Deux questions suffisent à l' annuler.

Est-ce que la police n'est pas dirigée par la CI/USA ?

Est-ce que les rapports des organisations des droits humains ont empêché l'usage excessif des gaz  lacrymogènes, des abus, des assassinats ( meurtre d'un étudiant et d'un journaliste entre autres) ?

Cette idiotie a été fabriquée par les partisans de Barbecue qui prétendent qu'il serait devenu un bandit à cause d'un rapport qui aurait provoqué son renvoi de la police.

Pauvre Barbecue. Obligé de devenir un bandit... Pas d'autre choix....

En réalité ça fait longtemps que des policiers se livrent au banditisme. Ce qui peut expliquer l'échec de la lutte contre les gangs.

Ah, une dernière question. Serait-ce à cause des organisations des droits humains que les policiers en charge de la protection de JOVENEL étaient aux abonnés absents ?

 

C’est quoi, le journalisme de préfecture ? L’expression a été popularisée par le site de critique des médias Acrimed qui la définit ainsi : le« journalisme de préfecture » recouvre un ensemble de réflexes et de pratiques médiatiques qui conduisent à relayer, sans aucun recul, le discours « officiel » (celui des autorités, de la police ou de la justice) à propos d’opérations de « maintien de l’ordre ». Plusieurs éléments entrent en compte pour expliquer la prégnance de cette forme de journalisme dans le traitement des violences policières. Le premier concerne la proximité et la dépendance des journalistes vis-à-vis de leurs sources policières. Le second concerne une certaine conception du journalisme comme partie prenante du maintien de l’ordre social. Ces dernières semaines, on a l’impression que le paysage audiovisuel français nous offre une sorte de masterclass visant non seulement à légitimer le concept, mais également à l’illustrer de mille et une manières. Et pour cause : dans les moments comme ceux que nous vivons, c’est-à-dire des moments où la question des violences policières ne peut plus être balayée d’un revers de main, les réflexes courtisans ne se cachent même plus. Et les moments de révélation se multiplient. Une chronique de Théophile Kouamouo.
 CI

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