..."Peyi a se pou ou mn blan, ou met saw vle, leta pap diw anyn" a été entériné avec le sabotage de la commémoration des 200 ans d'indépendance.
Qui d'autre que M. Leblan pouvait exiger ce boycott ?
Et qui d'autres que des imposteurs pouvaient accepter de le rendre effectif ?
Qui d'autres pouvaient accepter de jouer ce rôle de fantoches, de s'exhiber, de se balader sur tous les media français et canadiens pour raconter qu'ils étaient en lutte contre une dictature- faisant comme si leur soi-disant combat pour la démocratie orchestrée et managée de Paris n'avait pas pour unique bue de contrer la réclamation du remboursement de la dette de l'indépendance exprimée par un régime que d'autre part, pour des raisons d'ordre personnel - rien voir avec le souci cu bien commun- ils haïssaient.
Qui d'autre pouvait accepter la fraude permettant à Martelly de se retrouver au second tour des élections présidentielles ?
Ces dames et messieurs Grenn-nanbounda/Tèt Kale et alliés qui ont été mis à la tête d'Haïti à partir de 2004.
Ces Grenn-nanbounda, ces G184 nous ont fait perdre beaucoup en temps et en qualité. Ils nous ont fait régresser à un niveau jusqu'à ce qu'on arrive à avoir des débiles comme FOUCO/BERTHO et Cie comme représentants des Haïtiens. Processus d'avilissement de la nation.
Et voici qu'un M. G. PHILIPPE qui a oeuvré pour que ce qui devrait être une commémoration internationale se transforme en un énième avilissement du pays ,après avoir répandu chaos et violences pour M. Leblan, se présente 20 ans plus tard en "révolutionnaire pacifique".
G. Philippe en l'espace de 20 ans a troqué sa " révolution armée " pour une " révolution pacifique".
Et voici qu'il se trouve des propagandistes comme les 2 " ti mesye Micro Vérité " pour faire comme s'ils découvraient la lune et faire avaler cette banane, cette nouvelles escroquerie à leurs auditeurs avec force vociférations et actuellement jouant de la victimisation. D'après eux, à eux deux avec leur eméission ils feraient peur au "système' qui voudraient les faire taire.
Au contraire, le système chouchoute tous ceux qui font suffisamment de bruit pour divertir et désorienter la population.
Comme il a chouchouté MARTELLY, JOVENEL, ARIEL et pendant un certain nombre d'années Guy PHILIPPE. L'ex-ambassadrice Pamela WHITE après avoir eu comme chouchou Martely/Lamothe a maintenant G. Philippe, Dame La Lime de L'ONU de GUTERRES avait BARBECUE comme chouchou
Le système adore les journalistes qui de même que les 2 " ti mesye Micro Vérité ", font semblant d'ignorer le rapport de force et dirige l'opinion de certains Haïtiens vers l'admiration de personnages totalement loufoques tel que "nèg epe a", malveillants tel que " arabla" , criminels comme les " Ti mesye viv nan san", mercenaires du net comme les FOUCO/BERTHO/ BUSTA et Cie.
Toute la bande des journalistes de 2004, ceux qui étaient à la traîne de R. MÉNARD l'ex -partron de Reporters Sans Frontières, reconverti par la suite en policier de l'extrême-droite, de V. NUMA, CANTAVE, EXANTUS, jusqu'à DESCOLLINES ont tous été récompensés pour leur "loyale" collaboration au " système".
Le système - pas seulement en Haïti- adore les perroquets.
Pourquoi le " système" aime leurs discours pseudo révolutionnaires ?
Parce que le "système", en fait la CI/CORE GROUP + secteur privé, sait que le rapport de force ne permettra pas à ces discours d'atterrir sur quoi que ce soit d'autre que le brigandage, la corruption et le chaos. Un pays gouverné par un dictateur comme DUVALIER F. ou aux mains des narcotrafiquants c'est pour la CI/USA du pareil au même à partir du moment où ils ont le contrôle.
Et que, par ailleurs, - de même que les prêches de certains pasteurs incitent les gens à rêver à un avenir paradisiaque post mortem- cette mise en scène hystérique à base de " Viv prezidan Guy Philippe" devrait permettre aux frustrations de s'exprimer pour par la suite se dégonfler.
N'avez-vous pas remarqué que tous les spécimens qui travaillent en collaboration avec les USA après avoir lancé des cris de guerre, des slogans nationalistes, vitupéré, hurlé, se dégonflent par la suite comme des ballons qui se seraient trop gavés de ces slogans vides - parce que tout simplement ils ne tiennent pas la route quand confrontés à une vérité qui est celle de la domination des USA sur le pays.
N'avez-vous pas remarqué que tous les spécimens qui travaillent en collaboration avec les USA ne dénoncent jamais, ne nomment jamais les MARTELLY/LAMOTHE , les placés par les USA dans leurs dénonciations.
Écoutez attentivement les 2 " ti mesye Micro Vérité" et dîtes-moi s'ils citent les noms de Martelly ou de Lamothe ou d'autres individus occupant des postes de conseillers ou de Ministres sous les régimes de Martelly et de Jovenel ?
Cette chanson de BIC arrive très tard. Bien après que les cabris se soient sauvés de leur enclos et aient ravagé les plantations des agriculteurs. Bien après que les fonds du séisme, ceux de Petro Caribe, ceux de la taxe de 1.50$ aient été dilapidés et volés.
Un dicton dit qu'il vaut mieux tard que jamais.
Dans l'état actuel de "tout voum se do" dans lequel se trouve la société haïtienne , je crains fort comme on le voit avec les 2 "ti mesye Micro Vérité" que les imposteurs aient de beaux jours devant eux, parce qu'il ne faut pas oublier que si BIC dénonce l'emprise de M. Leblan, des vedettes du show biz haïtien comme A. LARIVIÈRE ont accepté d'aller jouer pour des bandits.
Et que nombreux ont été sur les réseaux des Haïtiens pour approuver ou légitimer cette démarche sous différents prétextes. Soit M. LARIVIÉRE en n'obéissant pas aux desiderata des bandits pouvait craindre pour sa vie, soit parce qu'après tout il n'était qu'un artiste répondant aux demandes de ceux qui le payent pour ses prestations. Ça s'appelle aussi déshumanisation parce que faisant fi des vies sacrifiées par les bandits auxquels l'artiste LARIVIÉRE offre un spectacle. Une récompense pour leur bon travail ?
2 plimay mesye leblan (BIC feat. Herby Francois)
Tèks : Herby françois ak BIC Tizon Dife Koris : Rébecca Excellent gitaris: Mandela Grafis : Ed Daliryks Pwodiksyon : Tizon Dife recordz
Commenter cet article