Pour Haïti aussi, on a vu tous les média "faire la gloire des fada" danseurs de rara dans la rue parisienne , "fada" qui se souhaitaient ardemment la bonne année en février, ayant refusés de fêter la nouvelle année le 1er janvier, ainsi que bien sûr de célébrer le bicentenaire de l'indépendance de leur pays pour cause de dictature.
C'était en février 2004.
Pourtant ces "fada" là -si ce ne sont pas eux ce sont leurs parents- ont fêté pendant 29 ans de dictatures duvaliéristes le nouvel an et même que l'année de l'assassinat de Jacques Stephen Alexis en 1961, ils cadencaient yeux fermés, bouche cousue au rythme du konpa.
Alors ?
Grands parents incendiaires, parents incendiaires, fils d'incendiaires ?
Il y a de cela parce que l'on retrouve + ou moins les mêmes dans tous les mauvais coups
Pour revenir à Géorgie/ Haïti
Comparaison n'est pas raison.
Cependant mêmes commanditaires = mêmes recettes avec quelques variantes locales significatives.
En Géorgie : révolution des roses
Je vous prie de noter au passage la vile récupération de "la révolution des oeillets" au Portugal par les néocons qui en ont fait un produit de maketing, trompe l'oeil.
Donc en Géorgie révolution des roses, au Liban révolution du cèdre, en Ukraine révolution orange
Orange du Tibet ou orange de Guantanamo ?
Et en Haïti ?
Révolution grenn-nannbounda
Ala traka!
Ainsi, malgré un plan de route similaire demeurent quelques magnifiques trouvailles liées à la culture locale et sa focalisation sur le "bounda"
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