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Sur le Point.fr : Chavez, Correa et Morales ressoudent leur "trinité socialiste"
L'article link
Et aussi :
Brésil/Venezuela : Lula et Chavez examinent des projets communs
http://french.peopledaily.com.cn/International/6666903.html
Le virage « à gauche » de l’Amérique Latine
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/le-virage-a-gauche-de-l-amerique-56668
Bon. Ces nouvelles, peut-être et sans doute excellentes pour les peuples exploités d’Amérique Latine, ne sont pas des meilleures pour Haïti.
Les USA qui ont fait d’Haïti leur « Guantanamo », leur espace privé de néocons,
- avoir en tête que l’ambassadade US en Haïti est l’une des plus importantes au monde-
vont malheureusement renforcer leurs pressions pour contenir les mouvements populaires, comme on l’a vu aux dernières élections sénatoriales ;
et asseoir leur domination, via leurs agents variés et masqués dans le monde des ONG, des zentellectuels, des journalistes, des artistes et de celui des importateurs et des patrons de sweatshop qui eux, leur sont déjà acquis d'office.
Les présidents d'Équateur, de Bolivie et du Venezuela ont profité dimanche de la fête de l'indépendance équatorienne à Quito pour ressouder leur alliance socialiste, tandis que le chef de l'État équatorien promettait de "radicaliser" encore sa révolution.
"Nous ne changerons pas de cap, au contraire, nous allons radicaliser et approfondir notre révolution citoyenne", a affirmé Rafael Correa lors d'un discours à l'occasion de la cérémonie marquant l'indépendance de son pays, gagnée face aux Espagnols le 24 mai 1822.
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Et aussi :
Brésil/Venezuela : Lula et Chavez examinent des projets communs
http://french.peopledaily.com.cn/International/6666903.html
Le virage « à gauche » de l’Amérique Latine
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/le-virage-a-gauche-de-l-amerique-56668
Bon. Ces nouvelles, peut-être et sans doute excellentes pour les peuples exploités d’Amérique Latine, ne sont pas des meilleures pour Haïti.
Les USA qui ont fait d’Haïti leur « Guantanamo », leur espace privé de néocons,
- avoir en tête que l’ambassadade US en Haïti est l’une des plus importantes au monde-
vont malheureusement renforcer leurs pressions pour contenir les mouvements populaires, comme on l’a vu aux dernières élections sénatoriales ;
et asseoir leur domination, via leurs agents variés et masqués dans le monde des ONG, des zentellectuels, des journalistes, des artistes et de celui des importateurs et des patrons de sweatshop qui eux, leur sont déjà acquis d'office.
Les gouvernements progressistes d'A. Latine ont "profité" de la guerre de l'Irak, objet de toutes les attentions de Washington, et de la montéée du cours du pétrole pour s'émanciper. Ils tentent de faire avancer leur agenda le plus vite possible, sachant très bien qu'un "accident" fâcheux peut ne pas manquer de leur arriver. Chacun connaît l'histoire des relations entre l'A. Latine et les USA.
De même, si ces pays d'Amérique Latine et des Caraïbes compatissent à la situation d'Haïti en principe, cette situation représente pour eux, un condensé de tout ce qu'ils craignent : ingérence totale des USA, Europe et Canada dans la politique intérieure du pays, du FMI, et des autres institutions internationales, domination par les acteurs économiques de la vie politique, occupation du territoire par les forces de l'ONU ( en grande partie leurs propres forces d'ailleurs).
En gros, osons le mot, une recolonisation par les Occidentaux, recolonisation qui comme pour le Roi Christophe à l'époque, représente leur pire cauchemar.
Ainsi, si comme l'a dit De Gaulle les Etats n'ont pas d'amis mais des intérêts, les Etats d'Amérique Latine et de la Caraïbe, une fois de plus, abandonnent Haïti à Moloch, pas tropical celui-çi, mais occidental, pour sauver leur peau.
Mais il faut dire, à leur décharge, que le gouvernement haïtien , par sa décision de s'allier aux néocons et à l'extrême droite, ne leur laisse pas d'autre choix.
De même, si ces pays d'Amérique Latine et des Caraïbes compatissent à la situation d'Haïti en principe, cette situation représente pour eux, un condensé de tout ce qu'ils craignent : ingérence totale des USA, Europe et Canada dans la politique intérieure du pays, du FMI, et des autres institutions internationales, domination par les acteurs économiques de la vie politique, occupation du territoire par les forces de l'ONU ( en grande partie leurs propres forces d'ailleurs).
En gros, osons le mot, une recolonisation par les Occidentaux, recolonisation qui comme pour le Roi Christophe à l'époque, représente leur pire cauchemar.
Ainsi, si comme l'a dit De Gaulle les Etats n'ont pas d'amis mais des intérêts, les Etats d'Amérique Latine et de la Caraïbe, une fois de plus, abandonnent Haïti à Moloch, pas tropical celui-çi, mais occidental, pour sauver leur peau.
Mais il faut dire, à leur décharge, que le gouvernement haïtien , par sa décision de s'allier aux néocons et à l'extrême droite, ne leur laisse pas d'autre choix.
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