Venezuela : coup de projecteur sur les zones d’ombre médiatiqueslink
La main de l’Empire américain n’est pas une chimère Je vous mets ces extraits qui montrent la manipulation faite par la droite au Venezuela pour vous remettre en mémoire que cette technique avait été utilisée en Haïti, par les gens de même obédience- milliardaires de l'import-export entre autres, que ceux du Venezuela, avec des photos d'enfants soldats au Libéria.
Photos diffusées sur le net par le Baron de Bourdon de Grand Renard, himself, travaillant pour les Américains et le même groupe de Bourdon qu'il faisait semblant, posant au nationaliste à la duvaliériste, de dénoncer ( mais qui a subitement arrété ses attaques depuis que ses copains de l' extrême droite rose ont été propulsés actuellement au pouvoir en Haïti)
Il y avait aussi les têtes coupées de l'écrivain L Trouillot -dont on n'a jamais vu une seule photo- mais qui, selon lui et ses collègues du Collectif Non à la commémoration du bicentenaire de l'indépendance, pullulaient à tous les coins de rue de Port-au-Prince. Une quantité de zen: bébé pilonné, corps enterrés sous la fameuse tour construite par Aristide, viols des jeunes femmes de la bourgeoisie par des chimères lavalassiennes qui se baladent avec avec des map ( billes) cousues dans leur zizi (sic). Une trombe de ragots, comme des poubelles déversées sur la tête d' une population de la diaspora mal informée et crédule. D'où le terme de zentellectuels pour qualifier ces intellectuels de droite décomplexée, propagateurs de zen.
Si, qui dit des absurdités poussent à commettre des atrocités, les montages de photos, comme on voit ici prises dans le monde et attribuées au Venezuela, ne peuvent que pousser à la haine ceux qui n'ont pas assez de jugeotte pour vérifier la provenance des photos. Infantilisation de la population en faisant jouer les sentiments primaires et opposés amour/haine, bien/mal au dépens de l'intelligence et de la raison.
Ce sont ceux là entrainés vers la haine par ces propagandistes, dont se serviront les dirigeants de l'extrême droite, ( eux, bien confortablement à l'abri dans leurs demeures luxueuses avec miradors et mitrailettes,leurs voitures blindées et leurs mercenaires armés,) se battre dans les rues avec d'autres pauvres tout comme eux.
Quant aux étudiants, depuis les révolutions de couleur dans les pays de l'Est, on sait qu'ils représentent une sorte de vente mou, le maillon faible de la société, manipulés par des ONG comme celles de Soros dont l'objectif est clairement exprimé dans les infos concernant son concept d'" open society": instrumentaliser les lettrés à l'intérieur d'un pays pour faire triompher les intérêts de l'empire.
Une technique meurtrière qui fait se battre et se tuer pour les beaux yeux des milliardaires ceux qui, au vu de leur condition, devraient fraterniser dans un projet commun d'indépendance économique de leur pays et de réduction des inégalités.
EXTRAITS
Alors que Nicolas Maduro a reçu des messages de solidarité et de condamnation des violences de l’opposition de la part de nombreux gouvernements et partis politiques de par le monde et de l’Union des Nations Sud-américaines (Unasur), le gouvernement des Etats-Unis prenait un ton menaçant. Lors d’une allocution télévisuelle, le président Maduro dénonçait que le sous-secrétaire d’Etat adjoint pour l’Amérique latine, Alex Lee, avait émis une série d’exigences (libération des responsables des violences, arrêt des poursuites contre Leopoldo Lopez, dialogue immédiat avec l’opposition) sous peine de "générer des conséquences négatives au niveau international" (15).
Cette menace à peine voilée est en fait le résultat de la participation active des Etats Unis dans les récents évènements qui secouent le Venezuela. Soulignons une fois, pour les éternels sceptiques, que la déstabilisation du gouvernement bolivarien n’aura de cesse que lorsque les Etats-Unis reprendront le contrôle du maniement de l’industrie pétrolière comme dans le passé.
En réponse, le président Maduro a décidé d’expulser du pays trois citoyens étatsuniens pour leur récente participation active dans la formation et le financement d’étudiants aux techniques de coup d’Etat soft (16).
Dans la nébuleuse d’informations sur la situation actuelle au Venezuela, de grossières manipulations médiatiques tentent de légitimer le discours de l’opposition qui dénonce la torture et la répression sanglante du gouvernement. Cette cyber-attaque est surtout un moyen de décrédibiliser le Venezuela au niveau international et de chauffer les esprits des partisans de l’opposition afin de générer une situation d’ingouvernabilité à l’instar des évènements actuels en Ukraine.
Rappelons que le Venezuela est le cinquième pays au monde qui se sert le plus de Twitter (17). Ce réseau social, abondamment utilisé dans les autoproclamées "Révolutions" arabes, est devenu une arme de premier choix dans la déstabilisation du gouvernement bolivarien. Ainsi, des photos de répressions et de tortures, reflétant des réalités étrangères, sont envoyées massivement aux jeunes vénézuéliens leur faisant croire que les scènes se déroulent dans leur pays (18). De retweet en retweet en passant par de nombreux hastags, un nombre non négligeable de jeunes opposants à la Révolution est ainsi manipulé.
Sur la photo ci dessous une image aérienne d’un pèlerinage religieux se transforme en une manifestation massive de l’opposition qui n’a pourtant jamais eu lieu
Les étudiants chiliens doivent sauter au plafond en voyant leurs camarades utilisés par l’extrême droite vénézuélienne
Un cas de torture dans le royaume d’Espagne devient un argument pour la droite vénézuélienne
Qui se doutait que les policiers égyptiens réprimaient des citoyens vénézuéliens ?
Rien n’arrête le cynisme de l’opposition. Les morts du conflit syrien sont transférés au Venezuela dans la ville de Maracay
Même le pauvre Loukanikos, icône animale de la révolte grecque, n’est pas épargné. Que fait la SPA ?
Le camp bolivarien doit donc une fois de plus faire face aux tentatives de déstabilisation de la contrerévolution au moment précis où le gouvernement prend des mesures radicales pour lutter contre la guerre économique et contre l’insécurité.
Même si le Peuple, l’armée et la police défendent les institutions démocratiques, la vigilance est de mise. Face à la désinformation des entreprises privées de communication, la solidarité internationale est plus que jamais de vigueur afin de déjouer la propagande médiatique contre la Révolution Bolivarienne. A un an de la disparition physique duComandante Chávez, son Peuple est bien décidé à perpétuer son héritage révolutionnaire.
Romain Migus
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