Haitian Leader's Power Grows as Scandals Swirl
PORT-AU-PRINCE, Haiti - With a brisk clap of his hands, Michel Martelly summed up the first steps he would take if he ever left the music business and became the president of Haiti. "First thing ...
THE CENTER OF POWER President Michel Martelly of Haiti, center, seated between Prime Minister Evans Paul, whose predecessor was ousted in December, and Sophia Martelly, the first lady, who has been targeted in a corruption complaint. Credit Hector Retamal/Agence France-Presse — Getty Images
Bon je ne vais pas vous traduire cet article du NY Times
Il dit ce que tout Haïtien non bandit légal sait.
Il dit ce que tout Haïtien tait par peur d'être envoyé ad patres comme le juge Joseph et bien d'autres.
Il donne aussi pas mal de satisfecit à Martelly: disparition des camps de réfugiés, une économie la plus dynamique de la Caraibe, les hôtels de luxe construits, le programme d'éducation pour tous.
Il ajoute que néanmoins 24% des Haïtiens vivent dans une extrême pauvreté.
Il omet de dire par contre que le chômage est passé de 9% à plus de 40%.
Ce que je note et qui est tout à fait nouveau, c'est que le NY Times remet en question la légitimité de l'élection de Martelly. (C'est pas bon ça pour la crédibilité de Mulet qui, d'après la presse, vise la présidence du Guatemala, ni pour l'ex-patron de l'OEA qui avait participé à la magouille)
Donc, voici ce que dit le NY Times : "Mr. Martelly was elected in 2011 after being placed in a runoff despite coming in third in a disputed election. International organizations, with an assist from Washington, helped Mr. Martelly by documenting his opponents’ widespread voter fraud."
M.Martelly a été élu en 2011 après avoir été placé au second tour d'élections contestées, malgré qu'il soit arrivé en troisième position. Les organisations internationales, avec l'assistance de Washington ont aidé M. Martelly, en présentant "une fraude magistrale" du côté de ses opposants.
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