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Le Monde du Sud// Elsie news

Le Monde du Sud// Elsie news

Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Concernant le projet de l'Ile-à-Vaches, j'ai reçu ce courrier de M. Tanisma qui dit avoir déposé une plainte au Canada contre le MPCE...(mis à jour)

Publié par siel sur 7 Juin 2016, 10:47am

Catégories : #AYITI ROSE RAKET

Le projet de l'Ile`-à-Vache est un des exemples les plus frappants de la nocivité de l'alliage cupidité/stupidité des Woz, de leur absence de considération pour le bien commun. Et pourtant, les Haïtiens de la classe moyenne, qui ne comprennent goutte à l'aménagement du territoire et à l'industrie du tourisme. Et encore moins aux questions liés à l'environnement et à la préservation de la biosphères, ont applaudi ce saccage et l'ont assimilé à du progrès.

Le projet de l'Ile`-à-Vache est un des exemples les plus frappants de la nocivité de l'alliage cupidité/stupidité des Woz, de leur absence de considération pour le bien commun. Et pourtant, les Haïtiens de la classe moyenne, qui ne comprennent goutte à l'aménagement du territoire et à l'industrie du tourisme. Et encore moins aux questions liés à l'environnement et à la préservation de la biosphères, ont applaudi ce saccage et l'ont assimilé à du progrès.

Dans plusieurs articles, dont ceux, ici et ici j'avais dénoncé l'absence de savoir-faire, de prise en compte du développement durable et des nouvelles réalités posées par le changement climatique  (un aéroport dans une île grande comme un mouchoir de poche) et de la non-participation en amont des habitants de l'île.

J'avais souligné qu'il s'agissait d'un véritable crime contre l'environnement, la biosphère de l'Ile-à-vache et sa population que d'y implanter un aéroport international.

A ce propos voici ce qu'écrit M. Tanisma :

 

J'avais recommandé, toujours dans le cadre d'une vision durable du tourisme, l'implantation d'un héliport et ou d'une piste d'atterrissage pour des aéronefs d'au plus 50 passagers dans un endroit situé hors des lieux habités. Ce, pour éviter de gruger les terres arables et de faciliter une évacuation rapide en cas de catastrophe naturelle, vu que l'île est située à moins de 10 kms de la faille Enriquillo-Plantain qui longue la presqu'île du sud jusqu'en Jamaïque.

 

J'avais mis en cause - à tort ?- Mme Balmir-Villedrouin en tant que ministre du Tourisme pour cette approche opaque, obsolète et rétrograde de l'aménagement du territoire et de l'industrie du tourisme.

A ce propos, voici ce que dit M. Tanisma :

 

Le ministère du tourisme est arrivé dans le dossier après que la firme canadienne et le MPCE aient préparé et produit leur rapport, vers le mois d’avril 2013. Mme Balmir-Villedrouin, ministre du tourisme, a tout simplement assumé les responsabilités de promotion et de mise en œuvre des interventions. Elle a fait son travail du mieux qu’elle pouvait mais n’avait ni la capacité, ni les compétences nécessaires pour comprendre les fondements méthodologiques et pratiques sous-jacents au développement touristique durable.
Concernant le projet de l'Ile-à-Vaches, j'ai reçu ce courrier de M. Tanisma qui dit avoir déposé une plainte au Canada contre le MPCE...(mis à jour)
Consultant en aménagement et en urbanisma  
 
   
 
  Montréal, le 9 mai 2016
Bonjour,
Je suis consultant en aménagement et en urbanisme demeurant à Montréal. Je suis le concepteur original du projet de développement touristique de l'île-à-vache dont le gouvernement haïtien via le MPCE, dirigé alors par Laurent Lamothe et une firme canadienne se sont appropriés en en plagiant habilement le contenu pour obtenir environ 28 M$ dans le cadre de l'accord Petrocaraibes.

Une plainte en dommages a été déposée en 2014 pour motifs d'usurpation de droit d'auteur et de plagiat solidairement contre ces deux derniers devant les tribunaux du Québec qui ont juridiction sur la nature et le fond du litige.

Mon document original comportait deux axes majeurs : 
- L'urgence incontournable d'appliquer les principes de développement touristique durable sur l'île-à-vache;
- La nécessité d'intégrer la consultation et la participation des citoyens en AMONT du processus de planification !

Voulant faire vite pour obtenir les fonds du Venezuela au mois de mai 2013 et insensibles aux enjeux sociaux et environnementaux que j'ai identifiés, ces...plagieurs, comme à l'accoutumée, se sont jetés à pieds joints sur mon document original pour en extraire et proposer sans vergogne les mêmes interventions ! Alors qu'il m'a fallu 3 ans, entre 2008 et 2011, pour préparer mes documents, ces lascars ont produit leur rapport sur l'île-à-vache à l'intérieur de ...3 semaines ! Ils auraient pu me contacter pour m’inviter à contribuer et à collaborer puisqu’ils me connaissent tous et savent comment me rejoindre. Mais, ils opté pour le chemin illicite habituel le plus court et le plus courant en Haïti : l’appropriation du bien d’autrui.

J'avais recommandé, toujours dans le cadre d'une vision durable du tourisme, l'implantation d'un héliport et ou d'une piste d'atterrissage pour des aéronefs d'au plus 50 passagers dans un endroit situé hors des lieux habités. Ce, pour éviter de gruger les terres arables et de faciliter une évacuation rapide en cas de catastrophe naturelle, vu que l'île est située à moins de 10 kms de la faille Enriquillo-Plantain qui longue la presqu'île du sud jusqu'en Jamaïque.

Hélas, hantés par une irrationnelle mégalomanie et par leur ignorance des principes de base de l’aménagement durable, ces messieurs ont accouché d’un aéroport international sur l’île, sous la pression d’un des opérateurs touristiques qui y possède son établissement et qui est devenu un proche de Lamothe grâce à mes documents. D’où les soulèvements actuels irréversibles des habitants de l’île-à-vache.

Le ministère du tourisme est arrivé dans le dossier après que la firme canadienne et le MPCE aient préparé et produit leur rapport, vers le mois d’avril 2013. Mme Balmir-Villedrouin, ministre du tourisme, a tout simplement assumé les responsabilités de promotion et de mise en œuvre des interventions. Elle a fait son travail du mieux qu’elle pouvait mais n’avait ni la capacité, ni les compétences nécessaires pour comprendre les fondements méthodologiques et pratiques sous-jacents au développement touristique durable.

Je vous invite à consulter la plainte au Palais de justice de Montréal et d’en suivre l’évolution à travers les couloirs de la justice québécoise et canadienne. À moins d’un revirement de dernière minute de leur part, reconnaissant mes allégations (appuyées par de preuves et ultérieurement par des témoignages), mes procureurs et moi sommes prêts pour un procès jusqu’en cour suprême du canada dans un an ou deux. Il FAUT que nous contribuions TOUS à dénoncer virulemment ces pratiques frauduleuses et incrustées dans les mœurs, dont Haïti est devenu le modèle par l’entremise des différents clans et des racailles politiques qui se succédé à la tête de cette agonisante nation au cours du siècle dernier, aidée par des opportunistes canadiens, français et américains.

Mes documents sont disponibles pour tous ceux qui en voudront une copie,incluant certains des politiciens actuels et moyennant les frais postaux.

Qu'ils continuent de sonder et d'activer les Arcanes dans tous les Lakous, le Grand Architecte de l'Univers veille. Car dans la production de mes documents, j'étais motivé par deux soucis majeurs:
-contribuer à faire avancer la réflexion sur l'organisation durable du territoire, talon d'achille d'Haiti et, LOGIQUEMENT
- être rémunéré pour mon travail, comme les EXPERTS BLANCS ÉTRANGERS! 

Jean-Olthène Tanisma
Montréal
 
 
  -- envoyé par Jean-OltheneTanisma (jeanotanis@gmail.com)  
 

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