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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


HAITI/ MAUVAISE FOI. L'existensialisme est un humanisme. En Haïti où règne l'idiocratie, il n'y a ni existence, ni humanisme

Publié par siel sur 5 Octobre 2019, 21:29pm

Catégories : #AYITI ROSE RAKET, #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ECONOMIE, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

Quand on entend ces marchands de micro faire toutes sortes de gymnastique, de circonvolutions,  pour se disculper de leur soutien aux tèt kale, de leur propagande  à  "vendre" (courtoisie V. Numa) le dysfonctionnement de l'Etat organisé par les "bandi legal.

Leur propagande à base de "kite peyi a mache", allant jusqu'à faire la promotion de l'exil forcé des jeunes les mieux formés, on appelle cette posture de la démagogie qui frise une forme de cruauté.

 Et puis, SURTOUT leur silence tonitruant face aux dysfonctionnements de ces brigands rose/rakèt pendant 8 ans.

Je pense à un seul exemple monstrueux d'injustice, celui de la mort d'un jeune homme provoqué par une des voitures du cortège du Premier ministre de l'époque, le Dr. Lafontant. Cette presse qui prétend que c'est aux candidats de se "vendre" n'a pas été une seule fois capable de dénoncer un acte aussi ignominieux.

Parce que, non seulement la voiture a renversé deux citoyens dont l'un est décédé, mais le plus criminel c'est qu'elle ne s'est même pas arrêtée pour conduire à l'hôpital le blessé.

Dans n'importe quel pays la presse aurait crié au scandale et réclamé que le Premier ministre et ses acolytes répondent devant la justice pour homicide et délit de fuite.

Au contraire, en Haïti on retrouve ce PM aux côtés du chef des "bandi legal" Martelly, à déclarer que les tèt kale ont pris le pouvoir pour 50 ans, sans soulever l'indignation de ces dits " directeurs d'opinion", dont le nom adéquat correspondant à leurs pratiques devrait être "orientateurs d'opinion"

Et quand maître Julien rappelle à cette presse qui s'auto-proclame université et qui s'est trouvée dans l'incapacité - comme elle le fait ailleurs -( là ce n'est pas le rôle de la société civile comme aime à dire V. Numa pour se dégager de la responsabilité d'informer des journalistes ) il se trouve face à un de ses représentants qui se carapace dans le déni. 

Quand cette presse se trouve dans l'incapacité de présenter correctement au public les membres d'un nouveau gouvernement : qui sont ces gens, quelles sont leurs expériences, parcours, diplômes, vie familiale, idéologie ?-  on ne peut que constater qu'il s'agit de journalistes démissionnaires-voire complices- de l'imposition au gouvernail de l'Etat, par la CI, du n'importe quoi tèt an ba/tèt kale/rose rakèt.

Je pourrais prendre encore un autre exemple, celui de Gabriel Fortuné, maire démissionnaire des Cayes et ex, ex, ex...Quand ce M. a déclaré que dans d'autres temps le journaliste qui avait critiqué sa gestion aurait été "mangé".

Du genre : miam, miam, je me serais bien  fait ce petit journaliste ratpakaka en steak haché. Ca n'a fait ni chaud ni froid à ses confrères -ni à la société habituée à la sauvagerie et aux violences verbales des héritiers de la culture macouto-duvaliériste et l'ayant intégré dans leur ADN comme la norme. Au contraire, jusqu'à présent ils continuent à inviter ce M. -  qui dit tout et n'importe quoi pour se faire voir ( Martelly président le plus grand cataclysme d'Haïti. mais Martelly invité aux Cayes pour venir déblatérer ses saloperies) -  pour donner son opinion de " sage", sur l'avenir du pays.

Gabriel Fortuné directeur de conscience ? Seulement en Haïti.

M. Rebu -dont je ne partage pas l'idéologie de droite- a dit quelque-chose de juste : le désordre vient toujours d'en haut et il se répand de couches en couches jusqu'aux plus basses.

De sorte que le désordre des tèt kale, leurs troubles de la personnalité, leur rapacité se sont répandus rapidement comme la foudre dans l'ensemble d'une société fragilisée par un tremblement de terre et l'absence d'éducation. Tout particulièrement dans le milieu précarisé des journalistes, issus des classes défavorisées en quête d'ascension sociale à tout prix.

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