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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


HAÏTI/BRESIL. Un ensemble d'associations haïtiennes réunies dans la Plateforme haïtienne de développement réclame ...

Publié par siel sur 10 Octobre 2020, 22:01pm

Catégories : #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ROSE RAKET, #MiNUSTAH-enfants nus, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

1- General Augusto Heleno (Foto: Marcos Corrêa/PR); 2- Janila Jean a dit qu'elle a été violées à 16 ans par un  soldat de  la mission de paix en Haïti1- General Augusto Heleno (Foto: Marcos Corrêa/PR); 2- Janila Jean a dit qu'elle a été violées à 16 ans par un  soldat de  la mission de paix en Haïti

1- General Augusto Heleno (Foto: Marcos Corrêa/PR); 2- Janila Jean a dit qu'elle a été violées à 16 ans par un soldat de la mission de paix en Haïti

...des réparations à l'ONU pour les viols commis sur les jeunes femmes haïtiennes de 2014 à 2017 au moment où Herero, le général brésilien commandait les casques bleus.

J'avais attiré l'attention des lecteurs sur les photos à caractère pédopornographique que publiait sur son site la Minustha. Je posais la question pourquoi une thématique telle que Gonaïves rentrée des classes se trouvait illustrée par des photos ignobles montrant, par exemple une petite fille couchée à même le sol de ciment avec posé sur son ventre un jeune enfant de 3-4 ans, mimant un rapport sexuel ?

Il y a avait aussi l'avalanche de photos achetées par tous les media étrangers, montrant après le séisme des enfants blessés avec des bandages sur la tête. Le photographe de la Minustha ni les responsables de la presse, ni la dite "société civile" haïtienne - qui n'a vraiment de civile que le nom,- sont restés sans réaction face au fait que l'image d'enfants mineurs- dont la reproduction est interdite partout dans le monde sans autorisation formelle des parents-  était devenue un objet de spéculation pour ce méchant photographe.

Il y avait aussi la dénonciation de l'auteure de Harry Potter, internationalement connue dénonçant l'ensemble de ces prédations sexuelles et aussi des ventes d'organes d'enfants haïtiens. Les dirigeants, les zentelektyèl, s'en foutent complètement.

On se serait attendu qu'un écrivain comme Franketienne procréé par un soldat américain, aurait pu profiter de sa notoriété pour défendre cette cause. A l'inverse, celui qui s'est dit un rescapé du duvaliérisme et de l'alcool est tombé dans les bras de Martelly: mon frère, un Haïtien comme moi...

A croire que les femmes  et enfants violés ne seraient pas eux Haïtiens, que l'haïtenneté serait une chasse gardée réservée aux seuls rescapés du macoutisme et à leurs bourreaux. 

Par la suite, j'avais publié une déclaration d'une consultante chargée par l'ONU elle-même -ironie et cynisme- d'enquêter sur le sort des enfants après le séisme. Laquelle experte avait signifié qu'il existait des bordels avec des enfants à peine âgés de 6 ans qui étaient fréquentés et par les membres des forces de l'Onu et par des civils haïtiens.

Ces bordels existent-ils toujours ? C'est fort possible, dans la mesure où ni l'Etat haïtien, ni la Minustha n'a donné de suite comme notait l'experte.

Quand il m'est arrivé d'en parler avec des Haïtiens ici, la question des viols de femmes et d'enfants les laissaient totalement indifférents. De même que les laissent indifférents les massacres, les vols de terres des paysans pauvres...

Et avec ça, ils ont le culot de prétendre vouloir être respectés. Qui va respecter des gens  qui laissent exploiter sexuellement les enfants de leur pays sans dire un mot ?

 Bien que je doute fort que respect, honneur et dignité puissent être des mots qui font partie de leur vocabulaire ; il les utilisent en général pour berner les masses( Martelly, Jovenel) et plaire à l'étranger devant lequel ils aiment à poser en humanistes en échange de quelques cadeaux et privilèges ( obtenir un boulot dans une ONG, obtenir un travail de consultant, être payé pour faire des rapports bidons).

Les mots qui les font gesticuler comme JOVENEL, insulter comme Martelly, hurler dans leurs micros comme GPPC, radoter avec des Ti-Jean  comme L. Désir, se déclarer "envoyé de dieu"  comme BOB C., poser au journaliste objectif et obséquieux comme V. Numa et Mme OPONT,  sont : fric, argent, money, flouze, dola ameriken.

D'ailleurs quelle garantie a t-on que ces personnes citées ne sont pas directement ou indirectement impliquées dans ces trafics juteux qui rapportent autant de fric que celui des armes et de la drogue.

Quoi qu'il en soit;, le tonitruant  silence de ces zotobre (gwo zotey) aux crânes rasés, un e confrérie de parvenus qui se prennent pour des aristocrates, témoigne pour le moins qu'ils s'en foutent "royalement" ( courtoisie W. Phèle.)

Parions qu'un Lubérice, un Hériveaux, un Me Georges s'empresseront de traiter de racistes, de colonialistes celles et ceux qui dénoncent ces crimes sexuels. Il sont incapables de balayer devant leur  maison Haïti,   et prennent comme bouc-émissaires ceux qui leur disent qu'elle est pleine à craquer d'ordures.

 

Revista Fórum - Diversas organizações sociais do Haiti, reunidas na Plataforma Haitiana de Desenvolvimento Alternativo, divulgaram um documento nesta sexta-feira (9), pelo qual exigem que a ONU (Organização das Nações Unidas) se responsabilize pelos mais de 3 mil casos de estupros (cerca de 300 deles envolvendo crianças) registrados no país durante a presença da MINUSTAH (Missão das Nações Unidas para a Estabilização no Haiti), entre os anos de 2004 e 2017.

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