...Gómez.
Première remarque. Tous ceux qui font leur choux gras de cette comparaison nulle et non avenue sont ceux qui répètent que les Haïtiens seraient les uniques responsables de la situation d'Haïti. Ils sont ceux qui comme M. G. DELVA annoncent quotidiennement qu'une expédition armée est en bonne marche pour venir combattre les gangs en Haïti. Ces derniers temps, il a changé de refrain pour annoncer que le pays ne peut être que "sauvé" par un changement de constitution, un référendum, des élections - le plan élaboré par M. Leblan pour JOVENEL. De même que M. Leblan s'est proposé de rédiger la loi minière pour le gouvrnement. Loi minière qui devrait être présentée devant des députés, élus pour avoir un "anneau chez l'orfèvre" ( corruption, blanchiment d'argent, enrichissement illicite, détournement de fonds, criminalité) qui devraient s'empresser de la voter.
Deuxième remarque. M.G. DELVA compare Haïti et la RD à partir d'événements qui se sont déroulés dans les années 1996. Il semble que son attention n'aurait pas été retenue par les arrestations sous ABINADER d'anciens dirigeants du gouvernement MEDINA- dont des membres de sa propre famille - pour détournement de fonds. Rien ne nous dit que si M.G. DELVA se serait trouvé à occuper le même poste en RD, il ne serait pas aujourd'hui derrière les barreaux. Vu qu'en Haïti aucun audit n'a été réalisé sur la gestion des ministères occupés par les tèt kale, jovenelistes et alliés, il peut continuer à se pavaner comme un coq en pâte alcoolisé. Qui sait si M.G. DELVA est plus honnête que les autres membres du gouvernement qu'il a servi ?
Troisième remarque. M.G. DELVA avec l'audace et le manque de respect pour sa propre personne qui le caractérisent ne remet aucunement en cause sa participation à un gouvernement qui a dilapidé 4 milliards de dollars auxquels s'ajoutent ceux récoltés à partir de la taxe de 1.50$ prélevée sur la diaspora pendant les dix dernières années. Si M. DELVA peut se comporter en "tidespòt", s'il joue à l'expert particulièrement sur les sujets qu'il ne maîtrise pas dans cette émission, c'est parce qu'il est un copain du patron de la radio, qu'il se trouve face à une équipe de "marchands de micros", présumés complices du système, incapables de le remettre à sa place. Au lieu de mea culpa, il se contorsionne en "griyen dan " pour faire diversion.
Quatrième remarque. M.G. DELVA parle de l'élite à laquelle il prétend appartenir pour avoir occuper un poste ministériel. Là il tombe dans le truc d'AVRIL se déclarant écrivain au nombre de mots écrits. S'il veut saisir la définition du mot élite, il lui suffit de consulter la page Wikipedia de M. Peña Gómez dans laquelle il est dit entre autres ceci :
"Doté de capacités intellectuelles impressionnantes, Peña Gómez , outre ses quatre titres universitaires, maîtrisait sept langues, dont le français, l’italien, l’allemand, le russe, le latin…"
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M.G. DELVA a- t'il fait des études en sciences politiques et économiques, en administration publique, en droit, en relations internationales, en diplomatie et que sais-je d'autre qui l'autoriseraient à imposer sa parole ex-cathedra à des jeunes gens terrifiés à l'idée qu'ils pourraient être mis au placard pour avoir contredit les dires brouillons du "maître"
Haïti république des comédiens sous les DUVALIER, République des coquins sous leurs héritiers martellystes, Répubique des imposteurs sous leurs héritiers jovenelistes - lequel Jovenel se disait ingénieur. Au fait qu'est-ce qu'il avait étudié Jovenel, quelles étaient ses lectures, ses expériences sur le terrain ? Les Haïtiens ont eu à la tête du pays deux super élites, l'une qui se baladait sur la scène avec des couches, l'autre pas même capable de planifier et de gérer son projet de production de bananes. Et ils seraient censés avoir la capacité de gérer un pays... Quelle foutaise.
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"Dès 1994 s’étaient manifestés chez Peña Gómez les premiers symptômes d’un cancer du pancréas. Après un traitement aux États-Unis, la maladie semble dans un premier temps vaincue, mais elle récidive et Peña Gómez passera la fin de sa vie entre Saint-Domingue et New York pour son traitement."
"Il décède finalement d’un œdème pulmonaire le 10 mai 1998 à Cambita Garabitos (San Cristóbal), six jours avant des élections législatives et municipales lors desquelles il était candidat à la mairie de Santo Domingo : il ne verra pas le PRD remporter la majorité dans ces élections."
D'après les derniers sondages avant l'élection présidentielle de lundi 16 mai, le social-démocrate José Francisco Pena Gomez, le seul candidat noir, est au coude à coude avec le président so...
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