... contrats avec les patrons de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale et alliés. Il rappelle le financement des campagnes des deux challengers choisis par les CLINTON et Cie pour aller au deuxième tour des élections qui ont vu bien entendu le "bandi légal" pré-sélectionné être élu président.
J'ai bien aimé la façon de parler du M. -en dehors des appels au bwakale , une image de la population haïtienne vendue par ceux-là même qui refusent de la sécuriser et qui renforce le narratif négatif sur les Haïtiens vendus dans le monde - un truc que les Haïtiens ne comprennent pas qui est un piège dans lequel ils tombent à pieds raccourcis.
Comme dans celui de Muscadin-denden, Rochemont, Guy Philippe, BSAP au prétexte que comme il n'existerait pas d'État de droit chacun aurait le droit d'outrepasser ses fonctions - alors qu'il existe des dirigeants payés et qui participent à des réunions à l'ONU et dans d'autres institutions internationales où ils représentent l'État Haïti.
Cette manière de penser est exactement celle appliquée par ceux qui ont dilapidé les fonds PetroCaribe, transformé le pays en un narco-État, financé et armé des jeunes des quartiers populaires jusqu'à ce qu'ils deviennent des "tout puissant"
Bref "pi ta pi trist" as usual... ajouter du désordre au désordre pour combattre le désordre, logique de ceux qui ont tendance à attendre l'intervention divine, celle de M. Leblan, celle des "chefs" qu'ils soient bandi legal ou gangsters.
Muscadin-denden, Rochemont, Guy Philippe, BSAP et autres applaudis par la population ne font que poursuivre dans la même voie parce qu'appartenant au même groupe des woz/rakèt..
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Haïtiens faisant une pause sur la route devant les mener à la frontière entre le Mexique et les USA
D'ailleurs cette anarchie qui peut être sécurise les gens de la zone de Muscadin-Denden, d'après ce qui est rapporté mais non vérifié (les apparences surtout en Haïti sont souvent trompeuses)- n'a aucun effet sur la sécurité dans l'ensemble du pays. Ce qui fait qu'Haïti est actuellement le pays dans la zone où la population s'exile le plus, selon l'économiste Germain.
Bref ce genre de subtilités qui renvoient à la guerre psychologique contre les Haïtiens depuis l'indépendance du pays échappe totalement aux citoyens lambda haïtiens.
Pour reparler du sabotage de la commémoration des 200 ans d'indépendance, j'avais proposé une exposition des titres des media occidentaux - pays tous à l'époque vivant directement et/ou indirectement de la traite et de l'esclavage à l'annonce de l'indépendance du pays. Evidemment dans un moment où l'UE, les USA, la RD finançaient les saboteurs, ce type de projet axé sur un rappel de faits historiques ne pouvait trouver de subvention.
Cette exposition des titres des journaux occidentaux, aurait permis de comprendre comment cette indépendance avait fait l'effet d'une bombe dans un paysage international dans lequel le système établi depuis 300 ans enrichissaient les Occidentaux qui le pensaient "à vie". Il s'agissait de faire comprendre aux jeunes générations qu'Haïti n'a pas pris son indépendance trop tôt comme le disent certains, mais qu'elle l'a prise dans un contexte qui allait susciter animosités et la placer économiquement au ban des nations afin que le pays - qui avait plein de potentialités- ne réussisse pas.
Et si Lemoine Bonneau et Soukar disent vrai, ce projet de faire échouer un pays gouverné par des Noirs, défiant l'idéologie de la suprématie des Blancs s'est formalisée dans un programme qui passe par l'occupation du pays, la vente des Haïtiens à Cuba, puis à la RD.
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