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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Quand on invite quelqu'un à venir chez soi comme ARIEL a été forcé par le clan CLINTON/OBAMA/TRUMP/BIDEN/BLINKEN à...

Publié par siel sur 16 Décembre 2023, 16:35pm

Catégories : #REFLEXIONS perso, #INTERNATIONAL, #AYITI ROSE RAKET, #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ECONOMIE, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

... le faire, selon les dires du journaliste Lemoine Bonneau, on est supposé connaître cette personne. Je fais une parenthèse: avez-vous remarquer que les journalistes et youubeurs s'intéressent rarement à relayer et/ou à approfondir les déclarations non favorables à la CI/USA ou au pouvoir tèt kale. Ex: combien de fois Mario Andresol à répéter que MARTELLY faisait du trafic de drogue avec les Colombiens ? Aucune investigation des journalistes pour vérifier la véracité des dires d'Andrésol. Résultat :  des mercenaires colombiens impliqués dans l'assassinat de JOVENEL , filleul de MARTELLY.)

Les Haïtiens ne connaissent rien des Kenyans, de l'histoire de ce pays . Ils ne savent rien de RUTO, le président de ce pays qui lui-même  peut-être a été contraint ( we have been blackmail disait-il )  de prendre la tête de cette expédition militaire étrangère. Ruto a en commun avec Ariel que tous deux sont soupçonnés de participation à des crimes. ARIEL dans le cas de l'assassinat de JOVENEL, RUTO dans le cas de meurtres commis contre une ethnie de son pays et accusé de crime contre l'humanité par le CP ont tous deux un dossier  loin d'être recommandable- d'où le fait qu'ils soient tous deux recommandés par la CI/USA (ironie).

J'ignore si  ces points communs entre RUTO,  ARIEL et l'organisation des malfaiteurs en bande organisée tèt kale et alliés à jouer dans ce choix du clan CLINTON/OBAMA/TRUMP/BIDEN/BLINKEN de l'envoyer "pacifier " Haïti, comme on disait à l'époque coloniale.

                                 Une xième fournée d'arrivistes et de traitres à la nation.

En tous les cas, bien que sachant que les dirigeants haïtiens, les "marchands de micro", les youtubeurs  dans la majorité réactionnaires, les "zentelekyèl"/tatruffes, les politiciens/comédiens,  n'ont pas les capacités philosophiques, intellectuelles, culturelles, morales pour comprendre à quel point cet envoi de Kenyans en Haïti représente un danger encore plus grand que celui d'avoir mis MARTELLY et l'association des malfaiteurs en bande organisée woz/rakèt et alliés à la tête du pays; malgré tout, j'insiste pour prévenir ceux qui peuvent écouter et réfléchir  qu'un nouveau malheur avec  l'envoie de ces troupes kenyanes  extrêmement toxiques, a été préparé pour le pays d'Haïti.

Dans cet extrait d'un article datant du 13/09/2022 vous verrez que RUTO possède toutes les "valeurs" requises par la CI/USA. Et puis vous verrez dans ce même extrait  que ces " valeurs" sont assimilables à celles des politiciens haïtiens aimés de la CI/USA. LAMBERT se disait être un "animal politique", RUTO, lui serait "débrouillard".

Vous constaterez également d'autres similitudes  telle que par exemple l'utilisation de l'origine paysanne pour se faire passer pour honnête et en même temps le côté "bandi legal" -"Hustler in chief- parce que la  traduction de hustler n'est pas " débrouillard " comme écrit dans l'article,  mais arnaqueur,escroc, prostitué, ambitieux, cupide... Vous avez le choix... RUTO se déclare leader de la "hustler nation" , de la nation d'escrocs ( et vu la corruption et les crimes commis dans ce pays, il semblerait que le qualificatif ne soit pas faux).  À  l'opposé du Burkina Faso," le pays des hommes intègres" ainsi baptisé  par T. SANKARA et à la tête duquel se trouve le capitaine Ibrahim TRAORÉ

Donc voici l'extrait plutôt édifiant question profil de RUTO de manière à ce que vous ne puissiez pas  quand les cabris seront dans la nature,  répéter comme des niais , en gratimoun" mwen pat konnenn", alors qu'il suffit de quelques clics pour s'informer. Il n'y a rien de magique, ni de mystique , pas la peine d'aller consulter nougat et prophètes pour avoir des infos sur la biographie de  RUTO.

"Un garçon de village" à State House

"Le nouvel hôte de State House (le palais présidentiel), qui est issu d'une famille modeste de la vallée du Rift (ouest), a remercié Dieu qu'"un garçon de village (soit) devenu président du Kenya". Une prouesse qui est le résultat d'une méticuleuse stratégie. "Il est considéré comme un des stratèges les plus efficaces de la politique kényane", note Nic Cheeseman, professeur à l'université de Birmingham (Royaume-Uni). 
Celui qui était l'un des hommes les plus craints du pays a emporté la présidentielle après avoir travaillé à polir sa réputation sulfureuse qui mêlait accusations de violences, de corruption, d'appropriation de terres et de détournement de fonds qu'il n'a cessé de démentir. William Ruto a ainsi choisi de se proclamer "hustler in chief" ("débrouillard en chef"), leader de la "hustler nation" ("nation des débrouillards") formée de millions de travailleurs pauvres qui tentent de survivre dans un pays en proie aux difficultés économiques. En se positionnant comme le porte-parole des "débrouillards" du petit peuple, face au pouvoir des dynasties, il a misé sur un clivage social plus qu'ethnique qui a notamment trouvé un écho chez les jeunes.  
L'ancien vice-président kalenji (la troisième ethnie du Kenya) et son prédécesseur Uhuru Kenyatta, Kikuyu (le premier groupe ethnique du pays), s'étaient alliés en 2012 pour conquérir le pouvoir après avoir été des ennemis. Ils étaient tous deux poursuivis pour crimes contre l'humanité par la Cour pénale internationale (CPI) pour leur rôle dans les violences post-électorales de 2007-2008, les pires depuis l'indépendance (plus de 1 100 morts et 600 000 déplacés). Les deux hommes étaient alors dans des camps opposés : Ruto soutenait alors Raila Odinga, l'opposant historique qu'il a affronté lors de la présidentielle. La CPI avait décrit William Ruto comme le principal planificateur des violences contre la communauté kikuyu dans son fief kalenjin de la vallée du Rift, avant d'abandonner toutes les poursuites en 2016.
Après les affaires, la politique

Diplômé en sciences, le nouveau président kényan a été professeur avant de se lancer en politique dans les années 1990 au sein des jeunesses du parti de l'autocrate Daniel arap Moi. Il aime à rappeler qu'il n'a eu sa première paire de chaussures qu'à l'âge de 15 ans et qu'il vendait des poulets en bord de route. Il a fini à la tête d'une grande entreprise de volailles, un des piliers de sa fortune qui comprendrait également des hôtels, des milliers d'hectares de terres... L'étendue de ses actifs a fait l'objet en septembre 2021 d'une vive controverse entre le ministère de l'Intérieur et l'ancien vice-président qui a accusé le pouvoir de vouloir le discréditer."

 

 

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