... manifesté sa profonde conviction que Mme Moïse ne pouvait être impliquée dans l'assassinat de son époux.
Bien que les convictions du juriste et "pitit bondye" ne se basent que sur du ressenti et son fanatisme pro-Jovenel, on peut considérer qu'en tant qu'avocat de dame Moïse il défende sa " cliente".
Par contre ce qui est bizarre, c'est que le M. qui vit en France a vu dans les actualités une série de cas où assassin ou complice d'assassinat se faisaient passer pour les victimes. Comme ce cas là fort connu, l'affaire DAVAL, dans lequel le gendre/assassin pleurait toutes les larmes de son corps et se faisait soutenir par ses beaux-parents, le père et la mère de son épouse qu'il avait assassiné.
La psychologie est une matière qui devrait être étudiée tout particulièrement chez les hommes de loi et la police. Ce cursus devrait être pratiquement obligatoire pour les avocats, juges, commissaire du gouvernement dans la mesure où dans des pays comme Haïti, les gens sont tellement liés dans des réseaux de connivence que le mensonge pour protéger leurs alliés et se protéger en même temps, fait partie d'un comportement courant.
La littérature également nous apprend beaucoup, si ce M. faisait l'effort de lire : des romans, des témoignages de flics, de juges, d'écouter les reportages sur les affaires dites sensibles, il saurait que :
" Rien n'était sûr au point de ne pouvoir être remis en question."
Par exemple, cette histoire de flash dans les yeux pour vérifier que dame Martine était morte apparaissait d'emblée invraisemblable, aussi invraisemblable que les propos d'un Dorcenat sur l'argent qui lui avait été donné par JOVENEL pour acheter deux "appareils " de surveillance des appels téléphoniques.
Bien entendu le Dorcenat n'a jamais été entendu par les enquêteurs. Et à dame Martine on n'a pas daigné lui expliquer, preuve à l'appui- il suffirait de lui balancer un flash alors qu'elle a les yeux fermés- que son témoignage manquait de rationalité
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Il est tout à fait logique, que les Colombiens en tant que témoins, puisqu'ils se trouvaient également dans la résidence de JOVENEL, puissent confrontés à la témoin clef qui se trouvait dans la même chambre que la victime.
Ces confrontations sont la moindre des choses dans une enquête, surtout quand il s'agit d'un cas aussi grave que celui d'un magnicide. Et d'autant plus que dans le cas de dame MARTINE, c'est quelqu'un qui traine une réputation de menteuse, comme dans le cas de l'affaire DERMALOG, où n'était-ce les photos elle aurait continué à nier avoir rencontré les représentants de la firme allemande en France.Sans compter l'affaire de la sursaturation des kits scolaires dans laquelle le "pauvre " Ministre de l'époque a été désigné comme étant celui qui avait manigancé la fraude. Et en dépit de ses dénégations, et qu'il clamait dans tous les media qu'il n'avait fait qu'obéir aux ordres de dame Martine, il n'a jamais été confronté à elle.
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