...ne se mange pas " Sitting Bull.
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Sitting Bull . Sources : https://www.thevintagenews.com/2019/10/20/sitting-bull-speech/
Qui était Sittting Bull ?
Né vers 1831, son véritable nom est Tatanka Iyotake qui signifie en réalité "Bison en train de s’asseoir". Issu de la tribu des Lakotas, l'une des tribus formant la nation sioux, Sitting Bull reçoit une formation de guerrier mais aussi de médecin.
Si à l'époque les Sioux sont présents dans les Dakota du nord et du sud, ils vont progressivement conquérir de nouveaux territoires : les États que nous appelons aujourd'hui Montana, Nebraska et Wyoming. Mais l'arrivée des colons dans les Grandes Plaines va contraindre les tribus autochtones à prendre les armes. C'est le début des guerres indiennes, au cours desquelles Sitting Bull va jouer un rôle central.
Sitting Bull, héros de la bataille de Little Big Horn
Sitting Bull se distingue dans les campagnes de Red Cloud en 1866 et 1868, et devient le chef principal des Lakotas. Le 6 novembre 1868, il est l'un des seuls chefs Sioux à refuser de signer le traité de Fort Laramie. Ce traité prévoyait de garantir la possession des Blacks Hills aux Sioux et la protection des populations dans une réserve. Ils sont en fait obligés de vivre dans des camps et forts bâtis par l'administration américaine. Les tribus perdent la quasi-totalité de leurs terrains de chasse et surtout, la découverte d'or sur le territoire occasionne de nombreuses violations du traité par les blancs.
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Au moment où le régime TRUMP/MUSK ne parle que de s'emparer de territoires : Canada, Groenland, Gaza, Panama, et même Ukraine à un certain niveau, il serait intéressant pour les populations de ces pays convoités pour leurs richesses de se remettre en mémoire de quelle manière s'est faite la conquête des territoires des premiers habitants, appelés aujourd'hui Amérindiens, leurs combats et leurs défaites provoquées par un rapport de force leur étant défavorable, l'absence d'unité entre les différentes tribus et la traitrise de certains chefs passés au camp de l'ennemi.
Ca devrait également interpeller les Haïtiens dont l'histoire est semée de ces divisions, de traitres à la nation, notamment les "konze" qui ont conduit les gendarmes étatsuniens à la planque de Charlemagne Péralte au moment où ils occupaient le pays. Notamment ceux, comme GUY PHILIPPE et consorts qui ont mené des raids contre le pays, ont foulé aux pieds la lutte des ancêtres combattants en boycottant la commémoration du bicentenaire de l'indépendance de leur pays.
Okay, dans tous les pays du monde il existe des opposants au pouvoir en place. Mais qu'est-ce qui est le plus important ? Aristide qui est un simple mortel ou bien la symbolique de l'indépendance qui devrait être transmise de générations en générations ? Ce clan de boycotteur qui se prétend nationaliste n'a même pas une idée de ce que représente un symbole comme celui de l'indépendance d'Haïti pour la nation haïtienne et pour toutes celles dans le monde qui sont encore en lutte contre le néocolonialisme.
Ces mêmes personnes,sans honte et sans respect pour leurs propres personnalités, des années plus tard déclaraient sur les radio françaises que l'élection de Martelly était la première élection démocratique en Haïti. Depuis lors elles continuent à raconter sornettes et mensonges, comme un M."estanley louka", une sorte de maître du chaos, en service commandé pour ceux qu'il a servis en Afghanistan.
La dernière invention de M. "estanley louka" c'est qu'il ne peut pas mettre les pieds en Haïti parce qu'il serait assassiné par des "lavalassiens". Bon M. "estanley louka" se trouvait en RD en 2004 en même temps que les mercenaires de Guy Philippe. Il est bien placé pour savoir que dans ce pays il existe des "sicarios", des tueurs à gages qui en échange de quelques milliers de dollars us, voire quelques centaines, auraient pu être engagés pour lui tirer une balle dans la tête, comme son camp de tèt kale l'a fait à Port-au-Prince pour ôter la vie au journaliste Rospide Pétion qui avait entamé un travail sur leur corruption et vols du Trésor Public.
Les radotes de M. "estanley louka" sont reprises et divulguées par la nébuleuse des pro tèt kale, martellystes et/ou jovenelistes comme l'invraisemblable et illettré Bertho qui affirmait que Cuba ne faisait pas partie de l'ONU. Et, comme il se doit, par les tèt pete de la secte des 2 "Timesye Micro Verite" pour lesquels si Bertho dit que Cuba n'est pas membre de l'ONU c'est que c'est vrai. Point barre. (courtoisie président assassiné, Jovenel Moïse)
Et si M. "estanley louka" qui a rabâché son histoire de "Groupe de Bourdon" au cours de lustres en se gardant bien de ne jamais citer de noms, qui, aujourd'hui dans une volte-face, ne prononce plus le mot "zoligat"-vu qu'ils sont au pouvoir aux USA- déclare qu'il n'a rien contre les bourgeois( lesquels devraient, en principe, être les premiers à vouloir se débarrasser de lui) mais dit être menacé par les "lavalassiens", c'est que c'est vrai.
Quand M. Badio parle d'apparence et de mensonge, sa longue expérience dans ce milieu nous induirait à le croire sur parole.
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