... n'était pas content. Le Premier ministre espagnol, M. Sanchez, de loin le plus respectable et le plus beau parmi ceux qui se trouvent sur la photo, s'est "déporté" et "isolé" tout au bout du premier rang -volontairement car il y a des marques sur le sol pour déterminer l'emplacement de chacun pour la photo.
Le "daddy "avait dit : "Je ne suis pas content avec l'Espagne". L'Espagne a répondu " Vous n'êtes pas mon "daddy"
Ceci, comme tout
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le monde, je l'avais remarqué. J'avais l'intention d' aborder le sujet mais je ne savais pas par quel bout le prendre. Le désaccord sur la question de la Palestine, les tarifs imposés à l'UE, l'imposition d'une augmentation du budget pour l'Otan ?
Invegtisaction a fait le boulot dans cet article qui est un rappel historique des relations de l'Espagne avec les USA-
"Les gouvernements espagnols ont toujours fait preuve d’une grande docilité à l’égard de Washington et de l’OTAN. Après le franquisme pourtant, Adolfo Suarez, président de la transition démocratique, avait refusé de reconnaître l’État d’Israël et de faire entrer l’Espagne dans l’OTAN, malgré les pressions des États-Unis. Mais il fut confronté à une tentative de coup d’État militaire le 23 février 1981. Après sa démission, son successeur, Leopoldo Calvo-Sotelo, fit adhérer l’Espagne à l’OTAN sans consulter la population"
Suite de l'article dans le lien.
Malgré les menaces de Trump, l'Espagne refuse de verser à l'OTAN 5% de son PIB
Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, s'est montré physiquement et symboliquement distant des autres dirigeants des pays de l'OTAN, un geste salué par une partie de la gauche, m...
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