/image%2F1034110%2F20221028%2Fob_0c2a43_thumbnail-13.jpeg)
Eh oui ! Il aura fallu du temps... et, et,... ENormément de pugnacité, et de ténacité à la petite équipe pour sortir ce numéro que l'on espère le premier d'une série.
Il peut se passer beaucoup de temps entre espérer et faire; et plus souvent que jamais" faire" n'arrive jamais et on en reste à l'étape du projet.
Une situation généralement difficile et que connaissent tous ceux qui oeuvrent dans le monde des arts et de la culture.
Situation qui, quand on combine les deux , à savoir culture + pays du Sud cumule tous les obstacles et tend à en faire une opération (non pas Bagdad) mais quasi -sucidaire.
Parce que, comme vous le savez, les élites des pays du Sud, milliardaires et millionaires pour certains n'investissent jamais dans la recherche, la communication,la création, l'art et la culture.
Parce que ça ne rapporte pas tout de suite.
Mais, mes amies et amis, posons nous la question : si les autres, ceux des pays du Nord, le font, serait-ce par pure philantropie ?
Bref , revenons à "Aux limites de la mémoire", titre qui revient à Roland Paret, cinéaste haïtien formé en Pologne et écrivain.
A l'origine, une proposition de Frantz Voltaire : utiliser les photos du Cidihca (Centre culturel haitien et de la Caraïbes à Montréal) et réaliser une rubrique régulière pour le défunt journal Haiti Tribune. C'était lors d'un séjour que j'ai fait là-bas pour organiser le numero spécial de Haiti Tibune sur la diaspora haïtienne de Montréal. Numéro qui contenait des contributions passionnantes. Je profite de l'occasion pour remercier, encore une fois, les auteurs qui nous ont gracieusement offert leurs collaborations. Non, non, je le répète et même si bien des fois l'expérience aurait tendance à nous prouver le contraire, la reconnaissance n'est pas une lâcheté ni une affaire d' "achté figi moun" (faire du lêche cul) comme prétendent certains faisant leur cette
"réflexion" de l'ancien dictateur François Duvalier :"La reconnaisance est une lacheté".
Bref, revenons "Aux Limites de la mémoire. Par la suite, je propose en retour au directeur du Cidihca, Frantz Voltaire, de réaliser un numéro spécial,sous forme de magazine (imitation des numéros du Monde) avec les textes de Roland Paret et les siens + les photosen partenariat avec Haiti Tribune.
Le chantier a été lancé. La mise en page par M. Rajabo, commencée...
C'est le moment où les propriétaires du journal et sa direction choisissent d'en suspendre l'activité.
Pour ne pas saboter le travail de la petite équipe désargentée mais motivée, nous avons continuer pendant deux ans, en fonction des disponibilités des uns et des autres, pour enfin sortir ce numéro.
Et voilà, c'est fait.
En espérant ( Ah l'espoir ! Ca fait vivre quand même, quoi qu'on en dise) que vous serez nombreux à vous le procurer. Ce qui nous permettra de récidiver avec, peut-être, peut-être, un prochain volume sur le thème de l'Occupation américaine en Haïti, toujours avec les photos du Cidihca.
J'en profite pour remercier les auteurs : Roland Paret, Frantz Voltaire; Jancy Bolté pour la sélection et la numérisation des photos; Andy Rajabo pour la mise en page, Sergo Alexis pour ses corrections ainsi que Nixon Amilcar, Daniel Talleyrand et tous ceux qui nous ont encouragés, sans lesquels cette édition n'aurait pu voir le jour.
Un grand "chapeau bas" également à l'équipe du Cidihca qui se bat depuis de nombreuses années contre vents et marées pour la promotion de la culture haïtienne à Montréal.
"Aux limites de la mémoire" est en vente au restaurant Le Rond Point des Artistes, 18 rue Bris Echalas, Saint Denis 93 200. Tel : 01 48 09 88 40
Il peut se passer beaucoup de temps entre espérer et faire; et plus souvent que jamais" faire" n'arrive jamais et on en reste à l'étape du projet.
Une situation généralement difficile et que connaissent tous ceux qui oeuvrent dans le monde des arts et de la culture.
Situation qui, quand on combine les deux , à savoir culture + pays du Sud cumule tous les obstacles et tend à en faire une opération (non pas Bagdad) mais quasi -sucidaire.
Parce que, comme vous le savez, les élites des pays du Sud, milliardaires et millionaires pour certains n'investissent jamais dans la recherche, la communication,la création, l'art et la culture.
Parce que ça ne rapporte pas tout de suite.
Mais, mes amies et amis, posons nous la question : si les autres, ceux des pays du Nord, le font, serait-ce par pure philantropie ?
Bref , revenons à "Aux limites de la mémoire", titre qui revient à Roland Paret, cinéaste haïtien formé en Pologne et écrivain.
A l'origine, une proposition de Frantz Voltaire : utiliser les photos du Cidihca (Centre culturel haitien et de la Caraïbes à Montréal) et réaliser une rubrique régulière pour le défunt journal Haiti Tribune. C'était lors d'un séjour que j'ai fait là-bas pour organiser le numero spécial de Haiti Tibune sur la diaspora haïtienne de Montréal. Numéro qui contenait des contributions passionnantes. Je profite de l'occasion pour remercier, encore une fois, les auteurs qui nous ont gracieusement offert leurs collaborations. Non, non, je le répète et même si bien des fois l'expérience aurait tendance à nous prouver le contraire, la reconnaissance n'est pas une lâcheté ni une affaire d' "achté figi moun" (faire du lêche cul) comme prétendent certains faisant leur cette
"réflexion" de l'ancien dictateur François Duvalier :"La reconnaisance est une lacheté".
Bref, revenons "Aux Limites de la mémoire. Par la suite, je propose en retour au directeur du Cidihca, Frantz Voltaire, de réaliser un numéro spécial,sous forme de magazine (imitation des numéros du Monde) avec les textes de Roland Paret et les siens + les photosen partenariat avec Haiti Tribune.
Le chantier a été lancé. La mise en page par M. Rajabo, commencée...
C'est le moment où les propriétaires du journal et sa direction choisissent d'en suspendre l'activité.
Pour ne pas saboter le travail de la petite équipe désargentée mais motivée, nous avons continuer pendant deux ans, en fonction des disponibilités des uns et des autres, pour enfin sortir ce numéro.
Et voilà, c'est fait.
En espérant ( Ah l'espoir ! Ca fait vivre quand même, quoi qu'on en dise) que vous serez nombreux à vous le procurer. Ce qui nous permettra de récidiver avec, peut-être, peut-être, un prochain volume sur le thème de l'Occupation américaine en Haïti, toujours avec les photos du Cidihca.
J'en profite pour remercier les auteurs : Roland Paret, Frantz Voltaire; Jancy Bolté pour la sélection et la numérisation des photos; Andy Rajabo pour la mise en page, Sergo Alexis pour ses corrections ainsi que Nixon Amilcar, Daniel Talleyrand et tous ceux qui nous ont encouragés, sans lesquels cette édition n'aurait pu voir le jour.
Un grand "chapeau bas" également à l'équipe du Cidihca qui se bat depuis de nombreuses années contre vents et marées pour la promotion de la culture haïtienne à Montréal.
"Aux limites de la mémoire" est en vente au restaurant Le Rond Point des Artistes, 18 rue Bris Echalas, Saint Denis 93 200. Tel : 01 48 09 88 40
/https%3A%2F%2Fwww.madinin-art.net%2Fwp-content%2Fuploads%2F2024%2F04%2Ffond_nat_educ_haiti_mafieu.jpg)
/https%3A%2F%2Fayibopost.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2024%2F04%2FYon-jenn-etidyan-ki-ap-fe-lekti-1.jpg)
/image%2F1034110%2F20240427%2Fob_5272bc_fb-img-1615635621737-jpg.png)
/image%2F1034110%2F20240427%2Fob_193d44_thumbnail-2.jpeg)
/https%3A%2F%2Fwww.madinin-art.net%2Fwp-content%2Fuploads%2F2024%2F04%2Ffond_nat_educ_haiti_mafieu.jpg)
/image%2F1034110%2F20240505%2Fob_d58a61_ignorance-citations148-1-jpg.png)
/https%3A%2F%2Fayibopost.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2024%2F04%2FDjaka.png)
/image%2F1034110%2F20240504%2Fob_d913e0_mag-controle-volcler.jpg)
Commenter cet article