Je ne sais pas quel " journaliste" a écrit ce texte mais ça vaut son pesant d'or d'irrespect.
Ca commence comme ça :
C’est à l’église Melkite de Montréal, pleine à craquer, que les funérailles du juge Jean Serge Joseph ont été chantées dimanche en présence notamment de sa femme Rachelle Acela, ses enfants et sa mère. Cependant, aucun officiel du gouvernement n'a été remarqué.
Jusque là , ça va.
Puis ... les yeux vous en tombent.
"Rachelle Acela qui arborait de grosses lunettes de soleil, un grand chapeau noir tressé rimant avec son accoutrement noir et blanc n’a pas bronché tout au long de la cérémonie. Sa fille de 11 ans qui se faisait appeler « Ti commissaire» par son père s’accrochait à sa mère comme un gang à une main."
Ce qu'aurait pu écrire un quelconque journaliste :
"Rachelle Acela qui portait des lunettes noires, un grand chapeau noir tressé assorti à sa tenue noir et blanc n’a pas bronché tout au long de la cérémonie. Sa fille de 11 ans qui se faisait appeler « Ti commissaire» par son père était suspendue à la main de sa mère.
Entre-temps, deux autres filles du défunt, certains de ses frères, un neveu et de nombreux amis de la famille se sont approchés du micro afin d’adresser un mot à l’assistance en guise de témoignage de bonté et de droiture à l’endroit du magistrat disparu.
La suite, question absence d'empathie et de dignité dans le reportage sur ces funérailles est à l'avenantlink
Commenter cet article