Elle (l'histoire) illustre tristement l’état du Mexique, dix ans après le début d’une « guerre contre la drogue » : l’effondrement total de l’état de droit, la corruption, les rapts, la violence omniprésente.
Juste un petit rappel qui tombe pile poil par rapport à ce que j'essayais - labourer la mer n'est-ce pas ! (courtoisie Simon Bolivar) - ici, de vous expliquer sur le modèle mexicain que la CI, oligarchie locale, extrême-droite internationale et locale avec Antonio Sola et le reste des cerveaux lents, zombis, automates et robots, pullulant dans Le Nouvelliste comme mouches sur viande avariée, veulent à tout prix imposer aux Haïtiens.
Et pourquoi diantre ?
En dehors de leurs intérêts mesquins de boutiquiers - ne pas payer d'impôts, payer le minimum de taxes en général`, et les salaires les plus bas - et de leur cupidité à vouloir faire main basse sur l'ensemble des ressources d'Haïti, son sous-sol et même son soleil, les puissants cartels de drogue mexicains ont décidé de faire de ce pays une de leurs bases pour l'exportation de leurs substances vers les USA et l'Europe (dont l'Espagne en première ligne).
Que faire ?
Barrer impérativement - une question de survie- la route aux "envahisseurs" qui ont pris en otage Jovenel Moïse dit "JOMO la panique".
Au Mexique, la famille du kidnappé kidnappe la famille du kidnappeur
L'Etat mexicain du Guerrero est miné par la violence des cartels : rapt, corruption... Pour se défendre, des milices citoyennes ont recours à certaines méthodes que les gangs. La ville de San M...
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