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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


HAITI/ SHADA, chronique d’une extravagante escroquerie . Réédition du livre de Myrtha Gilbert et...

Publié par siel sur 9 Octobre 2019, 12:56pm

Catégories : #AYITI ROSE RAKET, #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ECONOMIE, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

Le président haïtien, Lescot, participe à l'effort de guerre en remet aux Américains  un chèque d'UN Million de dollars.

Le président haïtien, Lescot, participe à l'effort de guerre en remet aux Américains un chèque d'UN Million de dollars.

... une mise en parallèle avec les nombreuses escroqueries, tentatives d'escroqueries et projets d'escroqueries des tèt kale.

Nous en avions parlé ICI lors de sa sortie en 2012.

Cette réédition tombe à point vu que le programme de dépendance alimentaire d'Haïti  et d'autres escroqueries sont à l'ordre du jour.

On a vu le saccage que les tèt kale ont fait à l'Ile à Vache, qui heureusement a pu être arrêté avant que Mme Stephanie Balmir ne défigure l'îlet tout entier. En attendant qu'un gouvernement au service de la population développe un projet respectueux de l'environnement et des habitants.

Mme Stephanie Balmir  qui ne comprend rien au changement climatique,-en passant on lui recommande la lecture du dernier livre de Fred Vargas facile à lire même pour un ou une tèt kale -; qui n'entend RIEN aux questions de l'environnement et à la nécessité de préserver l'écosystème fragilisé par différents facteurs; qui n'en à rien à cirer du développement durable, parce que le fric à en tirer n'est pas immédiat; qui n'a jamais réfléchi, ne serait-ce qu'une seconde à ce qu'Haïti pourrait devenir dans 30 ou 50 ans est aussi celle dont, sans surprises, le nom est cité dans l'escroquerie PetroCaribe.

Laleau, Martelly,et autres tèt kale avaient l'intention de faire de La Gonâve, un paradis fiscal. Cette idée n'était pas nouvelle. Lamothe et Martelly qui s'en étaient allé en visite officielle au Panama avaient tâté le terrain. C'est l'unique raison derrière cette mesure de non- visa pour les entrepreneurs panaméens.  Puis, avec  les "Panama papers", on ne parla plus de cette affaire à laquelle, comme d'hab, les canards sauvages avaient crû grâce à la propagande des marchands de micro et de la plume.

Le coup de l'île de La Gonâve, s'accompagnait du contrat passé par LALEAU avec l'entreprise israélienne HLSI pour disait-il surveiller les frontières. Un travail qui n'a rien à voir ni de près ni de loin avec les compétences de cette entreprise spécialisée dans le déminage des terrains de guerre.

Gouvènman lakay, per diem outranciers,- sans compter l'arnaque des bracelets roses de Théano, celle de la taxation de la diaspora-  tout a été mis en oeuvre par  la firme bandi legal pour plumer la poule sans la faire crier. Au contraire, la poule a applaudit. Et quand de rares voix se sont élevées pour l'informer sur les opérations de truanderies, la poule s'est fâchée contre ceux qui osaient critiquer " les élus roses de dieu" qui la déplumaient.

Le coup de la Caravane était aussi pas mal. Ca aura permis toutes sortes de transactions financières dans l'opacité la plus totale. Les mecs ont appliqué la formule " gouvènman lakay"  pour puiser dans les finances de l'Etat ni vu, ni connu.

Maintenant on n'est pas étonné d'apprendre le coup du Qatar. L'extrême-droite haïtienne a toujours été amie avec ceux-là qui exploitent la population et la "conservent" dans la misère. 

Rappelez-vous du premier Egyptien, avant celui qui a pour nom Sherif Abdalah, il s'appelait  Mohamed Al-Fayed.  En Haïti,  où il s'est présenté comme un prince égyptien ( alors qu'il était le fils d'un instituteur en réalité) il a fait toutes sortes d'embrouilles avec Duvalier François : "On September 18, Le Moniteur (Haitian government newspaper) published another numéro extraordinaire, announcing that port operations had been handed over to Fayed in return for a contract to invest $5 million 'consolidating, enlarging and modernising' its facilities within 30 years. 'The Autorité Portuaire Nationale was the property of the state and all of a sudden by presidential decree it was given by Duvalier to Fayed,' remembers Benito Prato, the APN's accountant at the time. The contract gave Fayed the exclusive right to collect all fees for docking, piloting, loading and unloading vessels, as well as supplying them with whatever provisions they needed. This contract alone was worth hundreds of thousands of dollars a year. But the clause that was to cause the most problems was one that made Fayed the exclusive agent for all the shipping companies that did business in Haiti. To the layman, it was an innocuous sounding concession. But in financial terms it would have been an almost unimaginable windfall: agents routinely earn five per cent of the freight charges of all merchandise in and out of port. In Haiti, in 1964, it was worth between $200,000 and $250,000 per annum."

Simone, l'épouse du dictateur, aurait voulu qu'il épouse l'une de ses filles :

"There are persistent rumours that Mohamed Fayed is romantically involved with one or Duvalier's daughters, Denise, and one variant has it that they are to be married,' read a confidential telegram from Ambassador Benson E. Timmons III to Washington. The cable went on, 'While Fayed may say this to all the girls, there nevertheless remains possibility that for his part Fayed is in earnest re: his alleged plans for investment in Haiti and is seeking [to] strengthen his ties with Duvalier by dynastic marriage."

Finalement il aura dû fuir le pays. Al-Fayed est  le milliardaire dont le fils, Dodi,  avait une aventure  avec la princesse Diana. Tous deux sont décédés dans un accident de voiture à Paris. 

In Fact: Dodi Fayed's father Mohamed Al-Fayed, owner of Harrods, got rich by conning Haitian Dictator Francois Duvalier

C'est de tout temps, du fait de la rapacité des élites et de leur désintérêt pour le développement réel du pays, qui commence par celui de sa population, qu'Haïti a été une terre ouverte pour les aventuriers. Et ça continue. Les tèt kale ne faisant que suivre la voie des Duvalier dont ils sont les héritiers.

 

 

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