Al Gore, quand il était vice-président des États-Unis, avait été critiqué pour avoir sollicité des fonds de campagne d’une secte boudhiste. À cette occasion, il avait fait cette déclaration mémorable « Je n’ai rien fait de mal, mais je promets de ne pas le refaire ». Cette forme de dérobade est à mettre en parallèle avec l’aveu ambigu du chargé d’affaires américain Kenneth Merten à radio Ginen. « Nous ne voulons pas intervenir dans les affaires des Haïtiens. Nous avons été accusés d’immixtion. Nous ne le ferons plus. Nous ne l’avons pas fait par le passé. C’est ce que je souhaite souligner », a proclamé le diplomate en souriant, selon la transcription de l’entrevue publiée en ligne. Est-ce une forme de repentir ou une pirouette verbale ?`
Certains Haïtiens malgré tous les assauts faits en vue de détruire les neurones, conservent une relative logique.
L'article dans le lien.
Al Gore, quand il était vice-président des États-Unis, avait été critiqué pour avoir sollicité des fonds de campagne d'une secte boudhiste. À cette occasion, il avait fait cette déclaratio...
https://lenouvelliste.com/article/233203/robert-malval-pirouette
Commenter cet article