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Le Monde du Sud// Elsie news

Le Monde du Sud// Elsie news

Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Voici ce qui doit plaire à ceux qui font l'apologie du "kokomakak" des coups comme méthode d'éducation. En vérité

Publié par siel sur 31 Mai 2023, 13:57pm

Catégories : #REFLEXIONS perso, #AYITI ROSE RAKET, #AYITI EXTREME DROITE, #AYITI ECONOMIE, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

...  il est bien, beau et bon qu'AVRIL soit honoré comme écrivain expert en torture. 

Quelle honte 300 ans d'esclavage, 219 ans d'indépendance et vous trouvez des gens soi-disant qui veulent " aider" le pays et font la promotion des coups. JOVENEL aussi aimait vouloir taper...On dirait qu'il y a des gens qui l'ont "tapé" en premier...

Ces fous des "kalòtmarasa" ont été battus enfants, ils battent leurs enfants -parfois les violent- . C'est le "spiralisme" qui tourne et retourne à son point de départ  les châtiments corporels de l'esclavage, les coups aux femmes, enfants. Les coups donnés par les "zotorite"  pour " dresser " (courtoisie TT) la population. Duvalier disait la" formater". Enfants, adultes, vieillards. Tout le monde y passe. Si ce ne sont les coups c'est la maltraitance. Plus grave,  on entend des récits d'adultes battant leurs vieux parents devenus dépendants physiquement.

Le type dit qu'il bat ses enfants pour qu'ils ne soient pas mal élevés. Est-ce que lui qui a été  battu enfant est un adulte bien élevé ?

Le type dit  : pas question de faire comme les Blancs et de ne pas taper ses enfants. Mais ce sont les pratiques des Blancs eux-mêmes qu'il imite ad vitam aeternam- 5 siècles plus tard.

Les châtiments corporels existaient aussi chez M. Leblan. Simplement M. Leblan a remarqué que donner des kalòt marasa, fouetter jusqu'au sang les enfants,  provoquaient de graves dommages pour la société. Les enfants apprenaient mal - on avait besoin que les enfants des pauvres sachent au moins lire pour exécuter les tâches les plus sophistiquées dans les usines. Ensuite les enfants s'enfuyaient de chez leurs parents abusifs et formaient des bandes d'enfants des rue virant à la petite délinquance.

Taper c'est la solution la plus facile pour  les cons. Ça   évite  de faire fonctionner les quelques neurones disponibles.

il n'y a qu'en Haïti qu'on peut entendre qu'un artiste - un artiste mezanmi- sortir de sa voiture pour donner deux gifles à un enfant qui lui demandait la charité avec insistance- l'insistance étant un truc commun à tous les mendiants. Le type, Izolan, est dans sa voiture climatisée, sa vitre est montée, il peut changer de place comme il veut, mais il ne peut s'empêcher -spiralisme  de Frankétienne oblige- d'abuser de l'enfant. Izolan comme l'autre doit être persuadé qu'il est bien élevé.

Ici sa carrière de chanteur en aurait pris un sacré coup. Ben oui il lui aurait été renvoyé la monnaie de sa pièce devant la justice.

il existe une quantité de livres sur l'éducation des enfants. Les fanatiques du "kokomakak" ne les lisent pas. À quoi bon ? Il suffit de répéter ce qui se pratiquait il y a des siècles. Où est le problème ? "Jazz la ap byen mache". Il marche si bien que la police peut rouer de coups de bâton, frapper avec des pierres( si), mettre un présumé innocent à plat ventre dans une douche et sauter à pieds joints sur lui. Est-que ça dérange ?

Ben non,  ça ne dérange personne. Parce que vous êtes tous une bande de criminels et de voleurs et exploiteurs en puissance qui, si  l'occasion se présentait,  vous vous comporteriez comme ces policiers, comme MUSCADIN,comme AVRIL.

Souvent les gens répètent : le peuple a les dirigeants qu'il mérite. Ce n'est pas mon point de  vue dans la mesure où dans le cas d'Haïti il ne les élit même pas, en général ils ne les connaissent ni d'Eve, ni d'Adam. Qui connaissait JOVENEL ?

En tous les cas pour  ce qui est de la police on peut dire que le comportement "insane" de bon nombre de ses membres renvoie à celui des dirigeants tèt kale et alliés et avec celui de leurs associés les bandits qui prennent un grand plaisir à torturer les pauvres et les innocents.

 

I

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