..." tèt pete" crétins et surtout opportunistes qui se sont permis de comparer à Guy Philippe à M. Bassirou Faye.
D'abord vous devriez savoir que M. Bassirou Faye était le secrétaire général du PASTEF, le parti créé par Ousmane SONKO en 2014.
Ensuite que PASTEF signifie : Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité.
Sur Wikipedia vous pouvez trouver toutes les infos concernant la lutte du président du Parti, de ses membres et partisans au cours de ces 10 années. Et vous aurez une idée de la composante sociale et professionnelle des cadres de ce parti qu'on retrouve actuellement au nombre des Ministres nommés par SONKO :
"Dans un souhait de renouveau politique, plusieurs jeunes fonctionnaires de l'administration publique sénégalaise et d'autres horizons, se sont unis en comité afin de créer le PASTEF en janvier 2014."
Regardez quelles sont les premières mesures prises par le nouveau président. Exactement l'inverse de ce qu'avait fait JOVENEL avec son " pendant mon mandat il n'y aura pas de procès Petro Caribe" et son autre " on m'a forcé à nommer 50 juges corrompus" et encore son autre " je n'ai pas le droit de rencontrer ACRA en RD ? Pourquoi ? Il n'est pas un Haïtien comme un autre ?;.
Ce pourquoi j'ai noté ici la responsabilité des individus appartenant au prisme des classes moyennes, dont les "marchands de micro", journalistes, youtubeurs, dans le désastre actuel. Parce que complices des gangters à cravates et en savates; parce que diffusant des mensonges; parce que entretenant la population dans l'ignorance.
Vous pouvez voir ici la dignité et le sérieux avec lequel ces jeunes membres du PASTEF entament leurs fonctions au gouvernement. Espérons qu'ils arriveront à rester unis sur le chemin du " travail, de l'éthique et de la fraternité" devise de leur parti, car nous le savons, ce chemin est semé de pièges et d'embuches.
Sénégal : le président ordonne des audits et des contrôles financiers
Au Sénégal, le président Bassirou Diomaye Faye a ordonné plusieurs nouveaux audits et contrôles financiers. Le point avec notre correspondant à Dakar, Clément Bonnerot
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