... les qualificatifs de "lunatics, de marxistes, de fascistes"(tout ça en même temps) dont le "stable Genius" et autres bizarres insultes (trash : déjèts) a l'habitude de projeter sur ses opposants.
Dommage le texte est en anglais. Mais il vous suffit de consulter une application de traduction pour avoir la version en français.
Si Trump parle de USAID comme une "organisation criminelle" c'est parce qu'elle a été initiée par le Démocrate, J. Kennedy. De même son attaque contre le canal du Panama vise un autre président issu du parti Démocrate, Carter.
Il faut essayer de comprendre que la politique interne et externe de Trump se base sur son ressentiment personnel et d'autre part sur un appui aux oligarques dont le véritable but n'est pas de "nettoyer" l'administration mais de privatiser les institutions publiques.
Au niveau externe, retour à la Doctrine de Monroe de captation des ressources des pays des Amériques dont le Canada (ce qui est nouveau) et, en élargissant le champ, des pays européens en situation de vulnérabilité comme l'Ukraine et des pays dits du " sud global ". Par exemple attaques contre les ex-alliés : Inde et Taiwan qualifiés carrément de "voleurs" par un M. qui a toujours refusé de payer ses taxes.
Ahurissant n'est-ce pas que les USA, pays qui a le plus de bases militaires dans le monde se présentent comme des victimes.
ORWELL, l'écrivain, nous avait décrit dans ses romans de quelle manière le mensonge deviendrait vérité, que la guerre (celle économique actuellement menée par le régime MUSK/TRUMP) serait transformée en paix.
Personnellement et concernant Haïti, sur ce blog, je n'ai cessé de vous faire remarquer que la violence verbale ( notamment celle utilisée par les membres de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale et alliés, mais pas qu'eux) était le chemin menant directement à la violence physique, au passage aux actes. Et c'est ce que nous constatons avec les "Timesye Viv Nan San" et leurs alliés youtubeuses et youtubeurs.
La métamorphose d'un condamné aux USA pour avoir facilité le trafic de drogue dans son pays en un Mandela en lutte contre l'apartheid est emblématique du renversement de sens décrit par Orwell- dont je vous invite à lire les romans- celle des chefs de gangs pratiquant des actes criminels contre leurs propres citoyens en pauvres "victimes" du système est également emblématique du renversement des valeurs dont le dit système a besoin pour se perpétuer.
À propos du roman 1984 d'Orwell.
"1984 ou en toutes lettres Mil neuf cent quatre-vingt-quatre1 (titre original : Nineteen Eighty-Four), est un roman dystopique de l'écrivain britannique George Orwell. Publié le 8 juin 1949 par Secker & Warburg (en), il s'agit du neuvième et dernier livre d'Orwell achevé de son vivant.
L'histoire se déroule dans un futur imaginaire. L'année en cours est incertaine, mais on pense qu'il s'agit de 1984. Une grande partie du monde est en guerre perpétuelle (en). La Grande-Bretagne, désormais connue sous le nom d'Airstrip One, est devenue une province du super-État (en) Océania, dirigé par Big Brother, un leader dictatorial soutenu par un culte de la personnalité intense orchestré par la police de la Pensée. Le Parti s'engage dans une surveillance gouvernementale omniprésente et, par l'intermédiaire du ministère de la vérité, dans un négationnisme historique et une propagande constante pour persécuter l'individualité et la pensée indépendante. La liberté d'expression n'existe plus, tous les comportements sont minutieusement surveillés grâce à des machines appelées télécrans et d'immenses affiches représentant le visage de Big Brother sont placardées dans les rues, avec l'inscription « Big Brother vous regarde » (« Big Brother is watching you »).
Vous pouvez également visionner le film réalisé à partir de ce roman.
1984 George Orwell Full Movie ORIGINAL and Best version. Bon c'est plus que difficile à suivre dans la mesure où il s'agit d'une vieille version.
Pour en savoir plus Eric BLAIR https://www.youtube.com/watch?v=yy-yWNvcSfA dont le nom d'écrivain est Orwell, ses origines familiales, sa formation, le contexte politique dans lequel il a grandi. C'est passionnant. Ça permet de mieux comprendre comment la biographie d'une personne permet de mieux appréhender ses convictions, ses engagements, ses écrits. Ici également vous pouvez faire appel à une application de traduction.
Si j'attire votre attention sur le vécu d'Orwell c'est pour montrer qu'on ne devient pas un "révolutionnaire" avec des hurlements comme celles des 2 excités de "Micro Vérité" et leurs copains de la bande de Fouco, Bertho, Busta John, Louissaint alias Ralph Laurent, BANM SWIV, de l'ensemble de la nébuleuse opportuniste et illettrée sur le net, mais à partir d'engagements.
Et pour terminer ce voyage dans le monde d'Orwell cette citation :
"The further a society drifts from the truth, the more it will hate those who speak it”
George Orwell
Trad (approximative)
"Le plus loin une société s'éloigne de la vérité, le plus elle haïra ceux qui en parlent."
Une citation qui non seulement renvoie aux MAGA mais aussi tout particulièrement aux membres de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale et alliés, de leurs frénétiques propagandistes : "Estanley Louka", les 2 "Timesye Micro Vérite" et autres membres de la gang avides de fric et de pouvoir sévissant dans les media nationaux et sur le net.
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Zanny Minton Beddoes |
So head-spinning is the world-changing nature of decisions from the White House at the moment that it is sometimes hard to believe this is all actually happening. Had someone said to me a few weeks ago that President Donald Trump would throw Volodymyr Zelensky out of the White House, cut off intelligence support and military assistance to Ukraine and impose 25% tariffs on both Mexico and Canada, before announcing delays and exemptions—all within one week—I would have struggled to believe them.
I expected Mr Trump to be a disrupter. He was very clear about that. And in many areas disruption is needed. But these decisions go well beyond that. Mr Trump risks destroying the trade system on which post-war prosperity has been built. He is bullying his closest allies and cosying up to the West’s enemies. To adapt Dean Acheson, it seems as if we are present at the destruction. For those of us at The Economist, where support for free trade and Atlanticism runs deep, these are shocking developments.
But I think they make our job more important than ever. That is to provide you with clear, insightful and rigorously reported news and analysis to help you make sense of where the world is headed. And it is to offer an assessment of what is happening based on the values of free trade and classical liberalism that this newspaper was founded to champion.
This week we do this in three arenas. Our cover in America, Asia and Europe focuses on Mr Trump’s economic strategy. The president says his tariffs will preserve jobs, make America richer and protect the country’s very soul. Unfortunately, in the real world things look different. Investors, consumers and companies are showing the first signs of souring on the Trumpian vision. Our leader argues that aggressive and erratic protectionism will not work. Despite Mr Trump’s talk of a roaring comeback, the markets are flashing red.
In foreign relations, as in economics, Mr Trump’s policies will cause damage at home and abroad. In Britain our cover focuses on a transformative week for Sir Keir Starmer, who has been deft and purposeful in his handling of transatlantic relations. (To illustrate the point our designers have given Sir Keir a Churchillian makeover.) In a matter of days Sir Keir has sketched a new role for Britain in the world. Now, we write, the rebuilding of European security must galvanise him and, to pay for it, he must use this programme as the organising logic for a new and radical domestic agenda.
And finally, our cover in Africa and the Middle East considers the demise of foreign aid. As a prelude to shutting down USAID, America’s main aid agency, the Trump administration denigrated it as a “criminal organisation” that was “run by a bunch of radical lunatics”. Although the way America is cutting aid is unusually and needlessly chaotic, it is part of a global trend. A new, more parsimonious era of aid is beginning. It brings with it agonising choices. But it also offers an opportunity to rethink an inefficient system that has long needed an overhaul.
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