... papa dòk, ceux qui ont crié vive Trujillo, vive Franco, vive Mussolini, vive Salazar, vive Hitler, vive Pinochet. Et qui continuent à le faire.
Ce qui est intéressant c'est de constater qu'un descendant d'Allemands rentrés illégalement aux USA, rejetés par leur propre pays quand ils tentent de s'y réinstaller, se retrouve être à la tête d'une croisade anti-immigrés non Blancs, et comme le Fuhrer du pays de ses grands parents, entend dominer l'Europe, annexer des territoires étrangers : Canada ,Groenland, Panama.
Et comme le Fuhrer qui se voyait dans la peau de Napoléon Bonaparte, Trump se positionne en maître de tous les pays du monde qu'il veut régenter par la guerre économique, psychologique et/ou de manière plus pragmatique par l'utilisation de ses forces armées et de son réseau de bases militaires implantées sur tous les continents.
A ceci il faut ajouter la politique d'élimination des Non Blancs sur le territoire des US, en passant par ses raids ignobles des ICE - similaires à ceux que menait le troisième Reich dans les ghettos juifs : pas de justice, pas d'empathie pour femmes et enfants, tous considérés comme de dangereux criminels, des "zanimo" qui polluent la race Blanche et de même que le régime Nazi pourchassaient les artistes ne répondant pas à leur idéologie- de même le régime de Trump pourchasse les universités, les media, les individus en désaccord avec sa politique.
Comparaison n'est pas raison, dit le dicton. Cependant il est important de relever des similitudes évidentes entre le fascisme hitlérien approuvé par la majorité des élites européennes à l'époque et la propension de Trump à s'octroyer les pleins pouvoirs en zombifant le Parlement ( Sénateurs et députés) la police, les services de renseignement, l'institution judiciaire, avec l'appui des élites européennes aujourd'hui comme hier.
Aujourd'hui comme hier les mots sortant de la bouche de Trump et de ses alliés en Europe sont : deportation, retaliation, intimidation annexion, oblitération, destruction, déflation, distraction, fabrication... Un tas de mots en "ion" emblématiques d'une politique de déshumanisation des populations -la sienne également en lui refusant des droits fondamentaux à la santé, l'éducation avec ce budget qui enlèverait la sécurité sociale à des millions d'Etatsuniens, bien entendu parmi les plus vulnérables- que la dite plus grande démocratie au monde semble avoir pour objectif de répandre de même que le coca-cola sur la terre.
Regardez le projet de Trump de construction d'un camp de concentration (une sorte de goulag à la Bukele d'El Salvador) qu'il nomme Aligator Alcatraz pour y mettre les immigrés illégaux, ceux qui travaillent dans les champs, dans la construction, dans les entreprises. Un endroit insalubre, infesté de moustiques, de pythons, entouré de marécages pleins d'aligators. Ce projet ne porte pas d'autre nom que déshumanisation.
Cette déshumanisation qui est en train de s'effectuer (et dont parle ici E. Renoncourt) je l'ai vu venir il y a quelques temps portée dans les media dominants avec la voix complaisante parfois d'intellectuels dits éminents, exposant publiquement leur racisme et leur vindicte contre les Non-Blancs, propageant selon eux un soi-disant racisme anti-Blanc qui justifierait aux yeux des ignorants et stupides , comme ceux-ci, cette déshumanisation en cours également en Haïti que des dirigeants vraiment stupides, concentrant toute leur énergie et leur fric à se gaver et à plaire à M. Leblanc, allant jusqu'à imiter leur grossier langage corporel comme sur cette photo, ignorent et pire accentuent par leur politique.
C'est ainsi qu'on a pu lire dans un message d'un des membres du groupe de MUSK, un type qui se surnomme "big balls" (gwo grenn- version US du du grenn nan bounda haïtien) écrit : " J"étais raciste bien avant que ça ne devienne à la mode." Cette mode on l'a vu ti pa ti pa, gagner pratiquement tous les pays occidentaux, à l'exception de quelques-uns comme l'Espagne ( à laquelle Trump n'a pas manqué de s'en prendre) avec d'autant plus de sérénité que le massacre des Gazaouis, la destruction de leur pays est présentée comme une "noble cause", à travers le mantra " Israël a le droit de se défendre" répété par les dirigeants et élites de ces pays - à quelques exceptions près, de même qu'il a existé une minorité de "Justes" dans l'Allemagne nazie et dans la France de Pétain.
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