La diversité des opinions exprimées offre, à mon avis, une image du décalage entre le regard artistique/second degré du Nord qui indirectement conforte la vision des bourgeoisies des pays du Sud.
Les gens des favelas n’ont pas vraiment la parole dans cette histoire sauf pour être cantonnés dans le rôle à vie (très courte) de trafiquants ou de… "bonnes", comme le mentionné dans un des commentaires.
Ma seule interrogation : comment Costa Gavras a pu en tant que président du jury, décerner l"Ours de Berlin" à ce film. Mystère.
Article sur :
Rue89.com
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